mercredi 31 mai 2017

Sur les traces du Ressuscité: baptême

«Au Québec, le nombre de jeunes enfants baptisés demeure plus élevé que ce qu’on pourrait imaginer», écrit la théologienne Sophie Tremblay dans le plus récent numéro de Sur les traces du Ressuscité, la publication de l’Association québécoise de catéchèse biblique symbolique.

«Les sociologues reconnaissent dans le baptême des petits enfants une pratique identitaire persistante, liée à l’appartenance socioculturelle. C’est seulement 50 ans après la Révolution tranquille, 50 ans après le concile Vatican II, qu’on constate un réel effritement du catholicisme culturel au Québec. La tendance semble liée à l’arrivée à l’âge adulte de la génération Y (personnes nées entre 1980 et 1995)», poursuit-elle.

mardi 30 mai 2017

Notre-Dame du Cap: un geste de bonté

«La revue Notre-Dame du Cap tire à 25 000 exemplaires. Comme chaque exemplaire d’un magazine est lu en moyenne par 4,5 personnes, c’est donc plus de 100 000 personnes qui nous lisent chaque mois. Imaginez la vague de bien qui déferlerait si chacun de ces lecteurs, à Beauceville, Côte-des-Neiges, Ottawa, La Sarre, Tracadie, Dolbeau, Farnham, L’Étang-du-Nord, La Tuque, Limoilou, Baie-Comeau, partout où notre revue est lue, décidait de poser un geste de bonté, sans rien attendre en retour, juste pour faire du bien à autrui», écrit Stéphane Gaudet, rédacteur en chef de cette revue, dans son éditorial de mai.

«Ce que je peux faire concrètement, aujourd’hui, comme disciple du Christ, pour rendre le monde meilleur, à mon échelle, peut être très simple. Dire je t’aime. Passer du temps avec une personne qui ne va pas bien. Rétablir le contact avec une collègue avec qui je m’étais brouillé. Faire un don. Saluer un sans-abri au lieu de l’ignorer. Changer une habitude malsaine. Donner un coup de main à quelqu’un qui a besoin d’aide. Ne serait-ce que sourire à un inconnu sur la rue», poursuit-il.

lundi 29 mai 2017

En communion: aide à mourir

«Il y a deux attitudes situées aux antipodes l'une de l'autre, qu'il faut prendre soin d'éviter dans l'accompagnement d'une personne qui demande l'aide médicale à mourir», selon Gilles Nadeau, prêtre et responsable du service de la pastorale de la Maison Michel-Sarrazin. «La première est de traiter cette demande comme un problème à régler en cherchant à faire changer la personne d'idée à tout prix; la deuxième serait au contraire d'exprimer un détachement total devant cette personne en lui disant, sans autre forme de questionnement, je te respecte

Le bulletin En communion (diocèse de Nicolet) résume les propos tenus par les différents intervenants lors d'une récente Session de pastorale interdiocésaine. Pour l'abbé Nadeau, «la règle d'or, c'est de vérifier les attentes de la personne, son désir lorsqu'elle s'adresse à nous: Qu'est-ce que tu attends de moi? Ensuite, il faut savoir se situer en disant, par exemple: Je ne suis pas d'accord avec l'aide médicale à mourir, mais je vais marcher avec toi jusqu'à la fin

dimanche 28 mai 2017

Univers: OPM d'Afrique

Yoland Ouellet, directeur national des Œuvres pontificales missionnaires au Canada francophone, et José Sierra, rédacteur en chef d'Univers, ont participé à la session continentale des directeurs nationaux des OPM de l’Afrique principalement francophone. La rencontre s'est tenues à Ouagadougou, au Burkina Faso, du 30 janvier au 5 février 2017.

«On y parlait de l’urgence de développer le dialogue islamo-chrétien alors qu’une attaque venait de se produire chez nous, au Québec ! Les attentats terroristes sont nombreux en Afrique, ils sont source de peur et de préjugés, alors inexistants, envers la communauté musulmane. On y proposait aussi des rapports de cordialité, de respect de l’autre, car nous sommes frères et sœurs, tous descendants d’Abraham. Aussi, la Mission devient-elle urgente dans ce monde violent : bâtissons le royaume du pardon et de la réconciliation, de la justice et de la paix, et dénonçons toute domination, toute haine, toute discrimination et tout préjugé», écrit l'oblat Yoland Ouellet dans l'éditorial d'Univers.

samedi 27 mai 2017

Le 4 à 6 de Notre-Dame du Cap

Une initiative fort appréciée de la revue Notre-Dame du Cap est son 4 à 6 annuel «qui permet aux collaborateurs qui écrivent dans la revue de se rencontrer et de faire connaissance», explique Stéphane Gaudet, rédacteur en chef.
Gilles Leblanc

Réjean Bernier et Michel Dongois
Le 12 mai 2017, vingt personnes ont participé au 4 à 6 de la revue. «Plusieurs d'entre eux ne se connaissaient pas et ne se verraient jamais autrement. On avait fait un 4 à 6 l'an passé, le 13 mai 2016 et à la demande générale, on a récidivé cette année», ajoute-t-il.

Gilles Leblanc, directeur de la revue, Raymond Carrière, président du conseil d'administration, et Stéphane Gaudet ont pris la parole.

«Gilles et moi avons présenté ce qui a été fait et ce qui s'en vient pour le 125e anniversaire de la revue». On a mentionné notamment que le magazine est désormais vendu à la librairie Paulines de Trois-Rivières et qu'on a préparé des objets promotionnels. Une activité se prépare actuellement: la fête de la revue, le 23 septembre, au sanctuaire Notre-Dame du Cap.

vendredi 26 mai 2017

Le gazouillis de la semaine

Chaque vendredi, un tweet qui intéressera tout particulièrement les membres de l'AMéCO par sa pertinence, son style, ses images et/ou son propos.

jeudi 25 mai 2017

Comité de rédaction sur Facebook

Quand le comité de rédaction de la revue Notre-Dame du Cap se réunit, on en parle sur Facebook! 


Séjour à New York

À l’occasion d’un court voyage à New York, j’ai profité de quelques heures de liberté pour faire une petite visite surprise à l’équipe d’America Media, tout près de Central Park.

Alors que cette œuvre des jésuites est aujourd’hui constituée d’un réseau multiplateforme de production de contenus, America magazine est publié depuis 108 ans, toujours en version papier. Ce qui n’a pas empêché l’équipe multimédia de stimuler un véritable boom numérique, ces dernières années, qui comprend désormais la production de vidéos disponibles dans le site web ainsi que d’émissions de radio hebdomadaires en baladodiffusion.

Le site web lui-même est devenu une plateforme très active et reliée aux différents médias sociaux où l’équipe d’America se fait présente, notamment avec la page Facebook de Fr. James Martin, s.j., «Editor at large» chez America, une page suivie par plus d’un demi-million de personnes.

Lors de ma visite, j’ai eu droit à une tournée guidée des lieux avec un fort accent sur l’histoire impressionnante d’America magazine, en compagnie de Nicholas S. Sawicki, assistant du président et rédacteur en chef d’America, Matt Malone, s.j.

L’équipe d’America Media occupe actuellement des locaux temporaires dans un immeuble près de Central Park, après avoir passé 50 ans dans le même building de la 56e rue à Manhattan. Un nouveau quartier général est en construction, où America Media emménagera d’ici la fin de l’année.

J’ai quitté les lieux avec quelques exemplaires du magazine et d’autres publications, dont un livre retraçant les 100 premières années d’histoire d’America magazine ainsi qu’un livre d‘entretiens avec le pape François.

Jacinthe Lafrance, présidente de l'AMéCO

Photo : Jacinthe Lafrance et son guide, Nick Sawicki.

mercredi 24 mai 2017

Intercommunication: livre de Bernard Émond

«Lire un texte de Bernard Émond, c’est prendre le temps, à chaque fois, de faire une halte. Il a une écriture dense et chaque texte induit une prise de conscience et ouvre sur une réflexion qui peut être porteuse de questionnement, de bien-être spirituel, d’apaisement dans un quotidien qui en désole plusieurs.»

Nicole Paradis, dans le plus récent numéro d'Intercommunication, recense le plus récent livre du cinéaste Bernard Émond, Camarade, ferme ton poste (chez Lux Éditeur, 2017).

mardi 23 mai 2017

La vie dans notre Église: le webzine devient une infolettre

«Une nouvelle ère s’ouvre pour les communications du diocèse. De la revue numérique, qui paraissait cinq fois par année, nous passons à la publication d'une infolettre. La vie dans notre Église Express sera dorénavant transmise aux quinze jours via votre adresse courriel. Au menu: des nouvelles plus récentes, des articles de fond, des vidéos et photos, etc. Bref un résumé de l’actualité en lien avec notre site Web», écrit Claire Du Mesnil, responsable des communications au diocèse de Saint-Jean-Longueuil. Elle précise qu' «une dernière livraison de la revue vous parviendra sous peu».

Le premier numéro du webzine La vie dans notre Église est paru en décembre 2014. Avec l'ultime numéro de juin, la revue électronique aura été publiée quatorze fois. Ses archives sont accessibles en ligne.

lundi 22 mai 2017

Ma revue dans le blogue de l'AMéCO

Le directeur d'une revue déplore que ce blogue n'ait pas mentionné souvent sa publication cette dernière année.

Vérification faite, grâce au petit mais puissant moteur de recherche que l'on trouve dans la barre du haut de ce blogue, le nom de cette revue - que nous ne divulguerons pas - a été mentionné plus de cent fois depuis la création de ce site le 1er janvier 2008


Cent mentions en moins de dix ans, soit plus de dix par année, apparaît comme un bon score, supérieur sans doute à ce qu'obtiennent la majorité des 75 revues membres de l'AMéCO.

Mais ce directeur a raison. Depuis juin 2016, sa revue n'a obtenu que quelques rares mentions. Faut-il y voir un complot? Pas du tout. La raison est fort simple: le directeur de cette revue, depuis cette date, ne remet plus un exemplaire de sa publication au rédacteur de ce blogue.

La majorité des membres de l'AMéCO s'empressent pourtant de remettre à Nouvelles de l'AMéCO chacun de leur numéro, dès qu'il sort de l'imprimerie ou de l'atelier de graphisme. Ces directeurs et directrices s'assurent ainsi que le blogue mentionnera régulièrement leurs parutions ainsi que les noms des rédacteurs et des rédactrices qui y collaborent. 


Depuis près de dix ans, sans relâche - y compris les jours de congé -, le rédacteur de Nouvelles de l'AMéCO lit et présente les numéros des revues membres qu'il peut obtenir.

Bulletin CRC: garder mémoire

«Garder mémoire de notre histoire familiale ou communautaire, pour en transmettre l’héritage aux générations actuelles et futures est un désir bien légitime. En cette année qui marque le 375e anniversaire de fondation de Montréal et le 150e du Canada, il est heureux de mettre en relief l’histoire des communautés religieuses et leur héritage à ce pays», écrit Micheline Marcoux dans le plus récent numéro du Bulletin CRC.
 

«Les départs de communautés religieuses, dans une petite municipalité comme dans une grande ville, ne laissent pas indifférents ceux et celles qui ont bénéficié de leurs services au cours des décennies et même pendant plus d’un siècle. De part et d’autre, des alliances sont créées pour garder vivante la mémoire de ces personnes et des œuvres de leur institut dans le milieu», ajoute l'ex-directrice de la revue En son Nom.

dimanche 21 mai 2017

Sel et Levain: à table

«J'ai toujours trouvé très important le temps passé à table, grâce entre autres à mon expérience au Centre Agapê», raconte l'auteure Valérie Roberge-Dion dans le plus récent numéro de Sel et Levain.

«Aujourd'hui, avec deux enfants de 2 et 4 ans, je dirais que ce sont des rendez-vous sanctifiants. La corvée, quoi! Trois fois par jour, une bataille d'une heure, parfaitement ingrate. Mais je m'obstine, je n'allume pas la télé, je garde mon roman rangé, je cherche à offrir une présence de qualité. Si je n'avais pas enraciné ma conviction que le temps passé ensemble autour des repas peut avoir quelque chose de sacré, je traverserais différemment cette étape de la vie de famille…», écrit-elle dans la publication du Centre Agapê.

samedi 20 mai 2017

Un oblat emprisonné en Bolivie

«Les militaires sont entrés chez lui et l’ont emprisonné avec seize autres mineurs. Rien ne justifiait sa détention sauf le fait d’habiter le même bâtiment  où fonctionnait la Radio Pie XII qui était, selon le régime, subversive.» L'arrestation et l'emprisonnement en Bolivie - en janvier 1975 - de l'oblat Gustave Pelletier sont racontés dans le plus récent numéro d'En mission, le bulletin qui a remplacé la revue Apostolat.

En mission, une publication du Centre missionnaire oblat, n'est pas membre de l'AMéCO. La revue Apostolat, devenue Apostolat international, a été lancée en 1929. Elle est disparue en 2012.

vendredi 19 mai 2017

Le gazouillis de la semaine

Chaque vendredi, un tweet qui intéressera tout particulièrement les membres de l'AMéCO par sa pertinence, son style, ses images et/ou son propos.

jeudi 18 mai 2017

300e article pour un journaliste de Présence

Une entrevue de Mgr Luc Cyr, archevêque de Sherbrooke, sur sa plus récente visite ad limina, a été publiée mardi par l'agence de presse Présence à l'intention de ses clients. Il s'agissait là du 300e texte de François Gloutnay à être déposé dans le site presence-info.ca depuis son lancement, le 1er août 2015, il y a moins de deux ans.

L'auteur est membre en règle de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec. Il signe aussi des textes et des reportages pour des revues et des sites Web, des clients de Présence, qui lui commandent des textes exclusifs.


Le rédacteur en chef de cette agence de presse, Philippe Vaillancourt, est aussi membre de la FPJQ. Présence est un média indépendant spécialisé en information religieuse québécoise, canadienne et internationale.

Le Messager de Saint-Antoine: persécutions

«Il y a une grande différence entre le retrait par une institution d’un crucifix appartenant au patrimoine religieux et le fait que des manifestants de partout au pays se dressent pour cibler des personnes en chair et en os, en les rendant responsables de nos problèmes sociaux ou pire, que certains aillent jusqu’à vandaliser leurs lieux de culte et proférer des menaces de mort», écrit Jocelyn Girard dans le plus récent numéro du Messager de Saint-Antoine.

«Si les chrétiens forment la religion la plus persécutée dans le monde, au Canada, en 2017, ce sont les musulmans qui sont de plus en plus la cible d’actes et de discours haineux», ajoute-t-il. Selon le chroniqueur, «l’islamophobie est bien réelle, comme l’était l’antisémitisme au XXe siècle».

mercredi 17 mai 2017

Vivre et célébrer: l'état de la formation liturgique

Quel est l'état de santé de la formation liturgique au Canada français? Il est mitigé, selon la théologienne et liturgiste Marie-Josée Poiré. 

Dans Vivre et célébrer, elle écrit que «s’il y a eu et s’il y a encore des expériences positives de formation liturgique et sacramentelle, celles-ci sont actuellement le fait d’initiatives et de convictions personnelles et locales plutôt que de politique institutionnelle. À ce niveau, la situation est fragile. Il y a dix ans, les évêques francophones canadiens décidaient d’investir collectivement dans la formation ; aujourd’hui, la situation financière et les priorités ecclésiales ont changé et la formation ne semble plus un enjeu».

mardi 16 mai 2017

Relations: Gabriel Nadeau-Dubois

L'arrivée de Gabriel Nadeau-Dubois sur la scène politique «est de bon augure pour la société québécoise dans son ensemble», estime Jean-Claude Ravet, rédacteur en chef de Relations, dans le plus récent numéro de la revue. «En tant que figure emblématique du printemps érable, puis comme artisan du récent processus de consultation citoyenne Faut qu’on se parle, mené à travers le Québec, il a su injecter un dynamisme démocratique rafraîchissant dans l’espace public, qui en a bien besoin.»

Jean-Claude Ravet, qui commente régulièrement l'actualité politique, sociale et religieuse à l'émission Foi et Turbulences de Radio VM, estime qu'il «est bon de se rappeler de temps à autre que la politique ne se réduit pas aux vraies affaires – pour reprendre le slogan du gouvernement Couillard qui traduit bien la colonisation du domaine politique par la logique néolibérale – et que la démocratie ne se réduit pas à jouer les ventriloques de la majorité silencieuse. Au fondement du politique, il y a l’engagement citoyen et le partage collectif de la parole en vue de discerner ensemble démocratiquement les grandes orientations de la société et du bien commun. Et s’y tenir».
 

lundi 15 mai 2017

Un départ pour le Bulletin de communication

«En ce beau matin froid et ensoleillé de mai 2017, je vous écris un petit mot pour une dernière fois, la première ayant été le 25 mai 2011», dit Suzanne Crête-Legault, responsable des communications au diocèse de Valleyfield et rédactrice en chef du Bulletin de communication. «Je quitte mon emploi à la fin juin - certaines personnes aiment dire qu’elles prennent leur retraite - après 15 ans au service du diocèse. Quinze années de bonheur», a-t-elle écrit dans un courriel acheminé aux journalistes locaux.

«Je reste en poste jusqu’à la fin juin. Je passerai le relais à Pascale Grenier, actuellement secrétaire de Mgr Simard, tout en assumant sa formation au cours de cette période», ajoute Suzanne Crête-Legault. La publication du Bulletin de communication va se poursuivre, assure-t-elle, car il s'agit d'«un lien important avec les personnes n’ayant pas Internet». Elle ajoute qu'il y a une «réelle volonté diocésaine de conserver ce lien». (photo: diocèse de Valleyfield)

30 pour En Chantier

«La publication En Chantier publiera son dernier numéro en juin 2017, puis cessera définitivement», écrit Yves-Marie Mélançon, de l'archidiocèse de Rimouski. En rédigeant la note du 13 mai, le rédacteur du blogue Nouvelles de l'AMéCO ne trouvait plus le coupon d'abonnement dans le site diocésain. «Cette référence a été définitivement retirée, car nous ne prenons plus d'abonnement, la revue cessant de paraître», nous a-t-on expliqué, ajoutant qu'«on ne sait pas encore si elle sera remplacée par quelque chose d'autre».

dimanche 14 mai 2017

L'Ami du frère André

«Il a fait relâche quelques mois afin de permettre le réaménagement de ses nouvelles salles d'exposition et la réorganisation de ses imposantes réserves.» De quoi s'agit-il?

L'Ami du frère André annonce, à la une de son numéro d'été, la réouverture du Musée de l'Oratoire et la prochaine exposition qui y prendra l'affiche. Son titre? Saint Joseph aime Montréal.

samedi 13 mai 2017

En Chantier: l'église de Lac-au-Saumon

«La Fabrique de Lac-au-Saumon était depuis plusieurs années en discussion sur l'avenir de son église. De son côté, la municipalité s'interrogeait sur l'avenir de son Centre de loisirs qui nécessitait des travaux d'envergure. Le projet d'une transformation de l'église en un Centre multifonctionnel est venu répondre à ce double enjeu», écrit René DesRosiers, directeur du bulletin En Chantier (archidiocèse de Rimouski).

«Au rez-de-chaussée, un mur amovible va d'abord séparer le chœur de la nef de façon à ce qu'une sacristie et un espace pour le culte soient conservés. Des messes, des mariages, des baptêmes, des funérailles pourront donc s'y tenir comme maintenant. Entre le chœur et la nef qui deviendra un vaste espace communautaire, une scène sera aménagée. À l'entrée, de part et d'autre d'une allée centrale, seront aménagés des salles de toilette, puis d'un côté un vestiaire et une cuisine, et de l'autre un guichet, un bar et des espaces de rangement. Au sous-sol, des modifications seront apportées aux salles de toilette, au système de chauffage et d'aération. Enfin, un ascenseur reliera les deux niveaux de plancher. À l'extérieur, la toiture sera repeinte et le parvis refait», explique-t-il dans le numéro de mai.

vendredi 12 mai 2017

Le gazouillis de la semaine

Chaque vendredi, un tweet qui intéressera tout particulièrement les membres de l'AMéCO par sa pertinence, son style, ses images et/ou son propos.

jeudi 11 mai 2017

Prêtre et pasteur: autochtones

La revue Prêtre et pasteur de mai propose un dossier sur l'Église et les peuples autochtones. Brian McDonough présente un long texte sur le rapport de la Commission de vérité et réconciliation consacré aux pensionnats autochtones. Dans sa conclusion, l'auteur, qui était membre du Comité consultatif régional de cette commission, souhaite une «juste appréciation de l'apport des religieux et des religieuses dans leurs relations avec les autochtones».

«Clairement les audiences de la Commission ne se prêtaient pas à des témoignages positifs ou élogieux au sujet des religieux ou des religieuses. Et pourtant, un grand nombre de religieux et de religieuses étaient non seulement respectés, mais profondément aimés par les Autochtones qui les avaient accueillis dans leur communauté. Nous n'avons pas entendu comment des religieuses et des religieux sont intervenus auprès des instances gouvernementales pour exiger une nourriture de meilleure qualité ou pour demander des services médicaux adéquats. Nous n'avons pas souvent entendu des expressions d'appréciation pour le travail colossal des missionnaires dans la sauvegarde des langues et des cultures autochtones, malgré l'opposition des agents de l'État canadien. Ces actions révèlent comment certains missionnaires ont pu lutter contre un génocide culturel, tout en faisant partie d'une structure colonialiste dont la logique conduisait vers un tel résultat», écrit-il.

«Une juste appréciation de l'apport des religieux et des religieuses dans leurs relations avec les autochtones reste encore à faire en faisant sortir non seulement le négatif, mais aussi le positif. Qui seront ceux et celles qui prendront le relais des religieuses et religieux avancés en âge afin de réaliser cette œuvre de guérison en vue d'une réconciliation dans la vérité?», demande Brian McDonough.

mercredi 10 mai 2017

Rencontre du conseil d'administration

Réunion hier à Trois-Rivières des membres du conseil d'administration de l'AMéCO. Il a été question du Prix Claude-Masson 2017 ainsi que du prochain congrès qui se tiendra à Nicolet (thème et soirée d'ouverture ouverte au public).

Lors de cette rencontre, il a été approuvé que deux nouvelles catégories s'ajouteront aux neuf catégories déjà existantes pour les Prix d'excellence de l'AMéCO. Ces deux catégories seront émission de radio et production audiovisuelle.

L'Envoi: Populorum progressio

Frédéric Barriault propose, dans le plus récent numéro de L'Envoi (diocèse de Saint-Hyacinthe), un texte sur le 50e anniversaire de Populorum progressio.

«Paul VI publie en 1967 sa fameuse encyclique Populorum progressio sur le développement des peuples. Tout comme Jean XXIII, Paul VI est convaincu que l’heure de l’égoïsme, du chauvinisme et du nationalisme est révolue», écrit-il. «La survie de l’humanité repose sur une prise de conscience des liens d’interdépendance et de solidarité unissant tous les peuples de la Terre.

Il explique que «sensibilisé aux misères qu’éprouvent les pays de l’hémisphère sud lors des discussions du concile Vatican II et à l’occasion de ses voyages en Afrique et en Amérique latine, Paul VI est bien conscient de la colère qui gronde dans plusieurs pays en voie de développement, à l’heure des guerres d’indépendance anticoloniales et de la multiplication des guérillas marxistes et des dictatures militaires».

mardi 9 mai 2017

En son nom: Montréal

Il faut se «réjouir de la fête du 375e anniversaire de Montréal en nous rappelant le sens de  l’immense croix lumineuse de 240 ampoules au sommet du Mont-Royal», écrit Diane Marleau, directrice de la revue En son nom. «Ce symbole de foi chrétienne est directement lié aux racines religieuses de la fondation de Montréal, autrefois désigné sous le nom de Ville-Marie.»

«Quand le 26 décembre 1642, une grave inondation menace le fort de Ville-Marie, le fondateur de la colonie, Paul de Maisonneuve, suivi des colons, plantera une croix près de la rivière. Il promettra à Marie d’en installer une plus grande sur le Mont-Royal si Ville-Marie est épargnée. Ce fut le cas et le 6 janvier 1943, de Maisonneuve  portera seul sur une épaule, une croix durant 5 kilomètres jusqu’au Mont-Royal», rappelle la directrice dans le plus récent numéro de la revue.

lundi 8 mai 2017

Redevances de Copibec

Si vous avez écrit régulièrement, à titre de pigiste, dans une ou des revues déposées à la Bibliothèque nationale du Canada ou à Bibliothèque et Archives nationales du Québec et si vos textes ont eu une longueur minimum de 1500 caractères (espaces incluses), vous pourriez bien avoir droit aux redevances que versera Copibec au cours de l'été.

Les pigistes dûment inscrits chez Copibec reçoivent ces jours-ci un avis les invitant à comptabiliser tous leurs articles publiés en 2014 et 2015 et à les inscrire dans leur compte personnel avant le 4 juillet 2017 afin qu'ils soient admissibles au prochain paiement des redevances.

Il y a deux ans, 16 diocèses et archidiocèses québécois ont signé des ententes avec Copibec et versent depuis à cette société les coûts liés à une licence de reproduction (photocopie ou numérisation d'un article).

Vie liturgique: concentration de célébrations

«Le calendrier liturgique du mois de mai est un peu particulier pour l’Église d’ici en raison de la concentration de célébrations pour des figures marquantes de notre histoire», écrit Jean Grou, rédacteur en chef, dans le plus récent numéro de Vie liturgique.

Il évoque notamment Marie-Léonie Paradis (4 mai), François de Laval (6 mai), Catherine de Saint-Augustin (8 mai) et Louis-Zéphirin Moreau (24 mai).

«Autant de personnages qui contribuent à apporter un surcroît de lumière dans notre quotidien, au cœur du printemps, à mesure que la période quotidienne d’ensoleillement s’allonge.»

Il ajoute que «le mois de juin n’est pas en reste avec la Nativité de saint Jean Baptiste, patron spécial des Canadiens français. Plus qu’une occasion de faire la fête, cette solennité nous raccroche aux racines de notre foi et nous interpelle quant à notre engagement dans l’Église et dans le monde».

dimanche 7 mai 2017

Œcuménisme: baptême

«Après plus de 50 ans d’histoire et 200 numéros, le Comité de rédaction a voulu revenir à la porte d’entrée du christianisme: le baptême. Le premier des sacrements, ou un rite pour accueillir l’enfant dans la communauté, le baptême, vous verrez, est un rite de passage avec une importance indéniable pour chaque confession chrétienne. Au-delà des différences, des formules et des pratiques variables, des points communs se dégagent quant à la signification de baptême», annonce Denitsa Tsvetkova, rédactrice en chef de la revue Œcuménisme, en introduction au 200e numéro de la revue du Centre canadien d'œcuménisme.

samedi 6 mai 2017

Prions en Église: une question de Mgr Ébacher

Évêque émérite, Mgr Roger Ébacher est un chroniqueur régulier auprès de Prions en Église. Dans le numéro de mai de la publication, réfléchissant aux 50e anniversaire de l'encyclique Populorum progressio et de l'organisme Développement et Paix, il termine son article en lançant cette question: «comme citoyennes et citoyens d’un pays riche, sommes-nous soucieux d’exiger par nos votes et nos interventions collectives que notre pays assume sa responsabilité internationale envers les nations démunies?».

vendredi 5 mai 2017

Le gazouillis de la semaine

Chaque vendredi, un tweet qui intéressera tout particulièrement les membres de l'AMéCO par sa pertinence, son style, ses images et/ou son propos.

jeudi 4 mai 2017

Pastorale-Québec: imprévus

René Tessier, rédacteur en chef de Pastorale-Québec, explique dans le plus récent numéro qu'une publication, comme toute institution, doit régulièrement affronter contraintes et imprévus.

«À la revue Pastorale-Québec, ces imprévus prennent souvent la forme d’erreurs d’expédition (pour lesquelles nous ne pouvons qu’être désolés), de retards multiples dans l’arrivée de textes à la rédaction, de photographies très difficiles à trouver et obtenir et, aussi… de problèmes de santé chez l’un ou l’autre.»

«Ces derniers mois, en plus, nous avons dû faire face à plein d’inattendus: la nomination de deux nouveaux évêques auxiliaires, l’attentat à la grande mosquée de Québec fin janvier, l’ajout d’une session diocésaine de formation et... de nombreux accrocs dans notre processus de livraison», ajoute-t-il.

«Ces imprévus ou inattendus et quelques pépins additionnels nous contraignent à modifier notre calendrier de parutions, déjà extrêmement serré. Aussi, après celui-ci, vous ne recevrez qu’un seul numéro de Pastorale-Québec avant les vacances estivales.» Les abonnés ne seront pas pénalisés car leurs abonnements seront prolongés de six semaines, indique-t-il.

Pauline Vertefeuille à la revue En son nom

Pauline Vertefeuille a dirigé puis collaboré au bulletin L'Envoi (diocèse de Saint-Hyacinthe) de nombreuses années. Elle est devenue, le 20 avril, présidente du conseil d'administration de la revue En son nom

Elle rappelle que cette revue fête ses 75 ans d'existence. En mai, deux événements, tenus à Montréal et à Québec, souligneront cet anniversaire.

mercredi 3 mai 2017

Carrefour salésien: Alep

«Dans la désolation et parmi les décombres, la maison salésienne ouvre tous les jours ses portes pour accueillir des centaines de bambins, d’enfants et de jeunes parce que nous voulons à tout prix qu’à côté de la mort que l’on voit partout, la vie continue.» Ces mots du salésien Munir El Raì, natif d'Alep, provincial du Moyen-Orient, sont reproduits dans le plus récent numéro de Carrefour salésien.

«Je suis ému de voir plus de mille cinq cents enfants et jeunes, le double d’avant, qui veulent venir dans la maison de Don Bosco pour rencontrer d’autres jeunes, pour vivre, pour prier et pour jouer.»

Il ajoute que «tous mes frères salésiens ont préféré rester avec leur peuple. Ils avaient le droit de partir, et ils pouvaient le faire tranquillement, mais personne n’a abandonné son poste et tous partagent le même sort».

mardi 2 mai 2017

Adjoint administratif recherché

Le Verbe est à la recherche d'un ou d'une adjointe administrative. La personne recherchée est «autonome, débrouillarde et ne craint pas la nouveauté et le changement», indique l'offre d'emploi déposée dans le site Web de la publication. 

«Un jugement très développé et le sens de l’organisation sont des qualités essentielles recherchées chez le candidat». Il s'agit d'un poste à temps plein. Les bureau du Verbe sont situés à Québec.

Notre-Dame du Cap: tuerie du 29 janvier

«Même si les semaines ont passé, je suis encore ébranlé par la tuerie du 29 janvier dernier à la mosquée de Sainte-Foy», écrit Stéphane Gaudet dans son éditorial d'avril de la revue Notre-Dame du Cap. «Ébranlé par le geste insensé d’un esprit détraqué, mais aussi par les messages publiés dans les réseaux sociaux qui approuvaient le tueur, certains auteurs de ces messages allant même jusqu’à se dire déçu[s] qu’il n’en ait pas tué plus».

Le rédacteur en chef ajoute que «l’immense majorité des musulmans qui ont immigré ici sont venus pour vivre en paix, travailler, envoyer leurs enfants à l’école en toute sécurité, fuyant souvent le terrorisme djihadiste dont les musulmans demeurent, rappelons-le, les premières victimes. Nos concitoyens musulmans ne sont pas une menace! Ceux qui ont été tués étaient innocents, leur seul crime a été de s’être retrouvés dans une mosquée pour… prier».

lundi 1 mai 2017

Reportage diffusé par l'Episcopal News Service

Seul journaliste présent lors de l’intronisation du 13e évêque anglican de Québec, Philippe Vaillancourt, rédacteur en chef de l'agence de presse Présence, était bien heureux d'apprendre que l'agence Episcopal News Service diffuserait son reportage dans toute la communion anglicane. Au lendemain de la publication de cet article, les deux agences ont une entente de collaboration d'une année.

«Nous sommes l'un des très rares médias francophones québécois à s'intéresser à l'anglicanisme. Tant mieux si notre couverture peut avoir des échos au-delà de nos frontières», a déclaré Philippe Vaillancourt, rappelant que son agence avait couvert le synode général de l'Église anglicane du Canada en 2016.

«Nous espérons que ce partenariat nous permettra d'offrir à nos clients et lecteurs des perspectives supplémentaires qui témoignent de la complexité du fait religieux au sein de l'anglicanisme» a-t-il ajouté.

Dans l'équipe de traduction

Ex-rédacteur en chef d'Aujourd'hui Credo et ex-membre du conseil d'administration de l'ACPC (ancien nom de l'AMéCO), David Fines fera partie de l'équipe de traduction lors du conseil général de la Communion mondiale des Églises réformées qui aura lieu à Leipzig, en Allemagne, du 29 juin au 7 juillet.

Église de Trois-Rivières: vente en trois parties

L’église Saint-Eugène, du secteur Cap-de-la-Madeleine, est à vendre depuis quelques années, rappelle la publication Église de Trois-Rivières.

Afin de faciliter sa vente, «les membres de l’Assemblée de fabrique ont décidé de procéder d’une manière différente», indique l'abbé François Hamel. «Au lieu de tout vendre en un seul bloc, nous procédons à la vente en trois parties: l’église et le stationnement, le presbytère et son terrain et le terrain voisin du presbytère qui est un terrain sans construction.»


Cette stratégie aura été bénéfique puisque l'abbé Hamel indique que le presbytère a été vendu.