«Au Québec, l’accaparement et la financiarisation des terres est un phénomène croissant. Faut-il le rappeler ici, présentement une personne sur huit souffre de la faim et au Québec 15 à 17% des familles sont affectées par la malnutrition», note le plus récent Bulletin de communication (diocèse de Valleyfield).
«Pour contrer ce fait déplorable, nous favorisons en priorité la souveraineté alimentaire. N’est-ce pas d’ailleurs cette orientation que l’ONU privilégie depuis plusieurs années comme le moyen le plus efficace pour réduire la pauvreté, faire disparaître la faim dans le monde et augmenter la productivité des récoltes? Également, depuis 1990, des groupes revendiquent le droit des peuples de décider ce qu’ils vont manger et comment ils vont cultiver même si cela contredit les sacro-saintes lois du marché. Et ce droit, c’est la souveraineté alimentaire.»
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