Le bulletin En communion souligne que la campagne 2018 de la Fondation pastorale du diocèse de Nicolet a été lancée le 24 mai 2018.
«L’objectif de la collecte 2018 a été fixé à 200 000 $. L’an dernier, la campagne de la Fondation pastorale a permis de recueillir, auprès des donateurs, 184 856 $. Ce qui est relativement peu, faut-il observer, si on considère que l’aide financière accordée en pastorale, cette même année, s’est élevée à 391 300 $, soit plus du double», écrit-on dans le plus récent numéro de la publication.
On explique que «ce qui affecte les résultats de la campagne annuelle, c’est principalement la diminution du nombre de donateurs, d’année en année; on constate en effet que les dons moyens oscillent, bon an mal an, entre 90 $ et 110 $. Par contre, le nombre de dons accuse un recul constant, étant passé sous la barre des 2000 contributeurs pour la première fois en 2017.»
Aucun message portant le libellé Membres. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé Membres. Afficher tous les messages
mercredi 20 juin 2018
mardi 19 juin 2018
Khaoua: quitter nos sécurités
«Oserons-nous quitter nos sécurités actuelles pour nous rendre sur l’autre rive?», demande Jean-Marc St-Jacques dans le plus récent numéro du Khaoua.
«Nous savons bien que nous devons le faire si nous voulons un monde plus juste et une Église plus fraternelle. L’urgence n’est pas de sauver le monde ou l’Église même. Il est de sauver la communion et la solidarité dans une société où nous devenons de plus en plus individualistes, pas nécessairement négativement, mais dans un monde où on nous apprend tôt à être autonomes et à ne pas dépendre des autres.»
«Nous savons bien que nous devons le faire si nous voulons un monde plus juste et une Église plus fraternelle. L’urgence n’est pas de sauver le monde ou l’Église même. Il est de sauver la communion et la solidarité dans une société où nous devenons de plus en plus individualistes, pas nécessairement négativement, mais dans un monde où on nous apprend tôt à être autonomes et à ne pas dépendre des autres.»
lundi 18 juin 2018
Saint François de Laval: Mgr Demers
Dans le bulletin Saint François de Laval, on propose un texte sur Mgr Georges-Édouard Demers (1906-1983), qui a travaillé une bonne partie de sa vie pour la cause de François de Laval.
«En 1932, la cause de François de Laval fut figée à Rome, pour la 3e fois, dû à plusieurs complications, notamment l’insuffisance de documents historiques. Le problème fut rapporté à Mgr Villeneuve, archevêque de Québec, qui proposa d’envoyer un prêtre du Séminaire pour travailler à Rome directement sous la direction du relateur de la section historique de la Congrégation des rites, nouvellement créée en 1930 pour les causes anciennes», écrit Martina de Vries.
À qui confier cette tâche dite colossale? C'est le jeune abbé Demers qui sera choisi. «Pendant sept ans, l’abbé Demers logea au Collège pontifical canadien à Rome et au Séminaire de Paris», raconte l'auteure.
«En 1932, la cause de François de Laval fut figée à Rome, pour la 3e fois, dû à plusieurs complications, notamment l’insuffisance de documents historiques. Le problème fut rapporté à Mgr Villeneuve, archevêque de Québec, qui proposa d’envoyer un prêtre du Séminaire pour travailler à Rome directement sous la direction du relateur de la section historique de la Congrégation des rites, nouvellement créée en 1930 pour les causes anciennes», écrit Martina de Vries.
À qui confier cette tâche dite colossale? C'est le jeune abbé Demers qui sera choisi. «Pendant sept ans, l’abbé Demers logea au Collège pontifical canadien à Rome et au Séminaire de Paris», raconte l'auteure.
dimanche 17 juin 2018
Prions en Église: chez Roger Vanthournout
«Un arrêt chez Roger Vanthournout figurait au programme de chacun de mes retours en Belgique», raconte Jacques Lison dans le numéro de juin de Prions en Église.
«J’avais séjourné une bonne année chez ce prêtre ouvrier, juste avant l’effondrement économique de 1974 qui allait frapper cruellement et durablement la région de Charleroi où il vivait.»
«Cette visite-là fut l’une de mes dernières avant le 28 juin 1989, le jour où l’un des garçons sans ressource dont il s’occupait l’assassinerait.»
«Je revois Roger se recueillir quelques instants au milieu du brouhaha de ses jeunes protégés et de gens de passage. Sa maison était trop étroite pour tant de monde! Et je l’entends encore me lire, du fauteuil où il s’était retiré, de larges extraits du Psaume 143, selon la traduction de la Bible de Jérusalem: Béni soit Dieu mon rocher, qui instruit mes mains au combat et prépare mes doigts pour la bataille. Il est mon amour, ma citadelle, mon libérateur…»
«J’avais séjourné une bonne année chez ce prêtre ouvrier, juste avant l’effondrement économique de 1974 qui allait frapper cruellement et durablement la région de Charleroi où il vivait.»
«Cette visite-là fut l’une de mes dernières avant le 28 juin 1989, le jour où l’un des garçons sans ressource dont il s’occupait l’assassinerait.»
«Je revois Roger se recueillir quelques instants au milieu du brouhaha de ses jeunes protégés et de gens de passage. Sa maison était trop étroite pour tant de monde! Et je l’entends encore me lire, du fauteuil où il s’était retiré, de larges extraits du Psaume 143, selon la traduction de la Bible de Jérusalem: Béni soit Dieu mon rocher, qui instruit mes mains au combat et prépare mes doigts pour la bataille. Il est mon amour, ma citadelle, mon libérateur…»
mardi 12 juin 2018
Décès d'Elaine Mayrand
Directrice du Service des communications de l'Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal, Elaine Mayrand est décédée dimanche soir au terme d'une brève mais fulgurante maladie. Conseillère puis vice-présidente auprès de Massy Forget Langlois relations publiques, Elaine Mayrand était engagée à l'Oratoire depuis juillet 2015. Elle était aussi présidente du conseil d'administration de la Maison Plein Coeur de Montréal.
«Femme de tête, femme de cœur, ceux qui ont eu le plaisir et le privilège de côtoyer Elaine ont pu constater ses nombreuses qualités», note Mylène Forget, présidente de Massy Forget Langlois relations publiques. «Parmi ses nombreuses réalisations, notons la campagne de relations publiques entourant la canonisation de saint frère André, à laquelle elle s’est consacrée corps et âme», ajoute-t-elle.
Une cérémonie commémorative aura lieu le jeudi 21 juin 2018 à 20 h au salon funéraire Alfred Dallaire Memoria (3254, rue Bellechasse, Montréal).
(Photo extraite du communiqué annonçant la refonte du site Web de l'Oratoire.)
«Femme de tête, femme de cœur, ceux qui ont eu le plaisir et le privilège de côtoyer Elaine ont pu constater ses nombreuses qualités», note Mylène Forget, présidente de Massy Forget Langlois relations publiques. «Parmi ses nombreuses réalisations, notons la campagne de relations publiques entourant la canonisation de saint frère André, à laquelle elle s’est consacrée corps et âme», ajoute-t-elle.
Une cérémonie commémorative aura lieu le jeudi 21 juin 2018 à 20 h au salon funéraire Alfred Dallaire Memoria (3254, rue Bellechasse, Montréal).
(Photo extraite du communiqué annonçant la refonte du site Web de l'Oratoire.)
jeudi 7 juin 2018
Publicité pour des revues
Novalis propose, par une bannière publicitaire (vue notamment dans le site Web de l'agence de presse Présence), de découvrir les magazines de spiritualité que la maison édite ou distribue.
Les publications Prions en Église, Vie liturgique et Prier la Parole sont proposées tout comme, entre autres, les périodiques français Panorama, La Documentation catholique et Le Monde de la Bible.
Ceux et celles qui s'abonnent à Prions en Église peuvent aussi opter pour un pack qui comprend la revue ainsi qu'un livre numérique.
Vie liturgique: juger plutôt qu'écouter
«Le temps de l’été ramène plusieurs d’entre nous dans leur pays ou leur lieu d’origine. On y retrouve les membres de la famille, des proches ou des amis», écrit Rodhain Kasuba dans le numéro d'été de Vie liturgique.
«Ce que les gens ont vécu à la synagogue de Nazareth lorsque Jésus s’y est présenté pour la première fois nous est sans doute déjà arrivé: nous pensions bien connaître quelqu’un, mais voilà que sa renommée ou sa personnalité pleinement épanouie nous étonnent ou même nous heurtent. Au lieu de porter une écoute attentive et de nous émerveiller de ses qualités et de ce qu’il accomplit, nous sommes enclins à le juger», poursuit-il
«Ce que les gens ont vécu à la synagogue de Nazareth lorsque Jésus s’y est présenté pour la première fois nous est sans doute déjà arrivé: nous pensions bien connaître quelqu’un, mais voilà que sa renommée ou sa personnalité pleinement épanouie nous étonnent ou même nous heurtent. Au lieu de porter une écoute attentive et de nous émerveiller de ses qualités et de ce qu’il accomplit, nous sommes enclins à le juger», poursuit-il
mercredi 6 juin 2018
Un sondage pour Le Verbe
«À la suite de l’embauche de Noémie Brassard, responsable des communications, nous travaillons actuellement sur l’élaboration d’un plan de communication pour l’année 2018-2019», écrit Sophie Bouchard, directrice générale du magazine et de la revue Le Verbe, dans un courriel remis aux abonnés et aux membres du réseau de la publication.
Le courriel contient un lien vers un sondage à remplir d'ici demain, jeudi. Le formulaire compte quinze questions dont les suivantes:
- Si Le Verbe se lançait dans une campagne d'affichage, dans quel lieu aimeriez-vous voir les affiches? (réponses possibles: colonnes Morris, palissades de chantier, transport en commun, panneau d'autoroute, autre).
- Dans quelle mesure ces actions publicitaires seraient pertinentes pour promouvoir Le Verbe à votre avis? (moyens à évaluer: affichage public, publicité télévisée, publicité sur Facebook / Instagram, publicité radiophonique, envois postaux, publicité dans le Prions en Église, publicité dans les médias imprimés).
- Si l'abonnement à la revue était payant, combien seriez-vous prêt(e)s à payer annuellement?
- Appréciez-vous lorsque nous faisons des visuels humoristiques? (cliquez sur l'image de ce billet).
- Si Le Verbe se dotait de marchandise promotionnelle, quel(s) item(s) aimeriez-vous vous procurer? (choix à cocher: affiche, tshirt, sac, tasse, porte-clé, aucune de ces réponses, autre).
Le courriel contient un lien vers un sondage à remplir d'ici demain, jeudi. Le formulaire compte quinze questions dont les suivantes:
- Si Le Verbe se lançait dans une campagne d'affichage, dans quel lieu aimeriez-vous voir les affiches? (réponses possibles: colonnes Morris, palissades de chantier, transport en commun, panneau d'autoroute, autre).
- Dans quelle mesure ces actions publicitaires seraient pertinentes pour promouvoir Le Verbe à votre avis? (moyens à évaluer: affichage public, publicité télévisée, publicité sur Facebook / Instagram, publicité radiophonique, envois postaux, publicité dans le Prions en Église, publicité dans les médias imprimés).
- Si l'abonnement à la revue était payant, combien seriez-vous prêt(e)s à payer annuellement?
- Appréciez-vous lorsque nous faisons des visuels humoristiques? (cliquez sur l'image de ce billet).
- Si Le Verbe se dotait de marchandise promotionnelle, quel(s) item(s) aimeriez-vous vous procurer? (choix à cocher: affiche, tshirt, sac, tasse, porte-clé, aucune de ces réponses, autre).
L'Ami du frère André: le Jardin du chemin de la croix
«Les horticulteurs de l’Oratoire Saint-Joseph du Mont-Royal veillent avec un soin jaloux sur le Jardin du chemin de la croix érigé à flanc de montagne», raconte le plus récent numéro de L'Ami du frère André.
«D’année en année, ils travaillent à la revitalisation de chaque recoin de ce lieu où ont été plantés arbres et arbustes au tournant des années 1940 d’après les plans de l’architecte paysagiste Frederic G. Todd. Une création de maître que l’Oratoire tient à préserver.»
«D’année en année, ils travaillent à la revitalisation de chaque recoin de ce lieu où ont été plantés arbres et arbustes au tournant des années 1940 d’après les plans de l’architecte paysagiste Frederic G. Todd. Une création de maître que l’Oratoire tient à préserver.»
lundi 4 juin 2018
Lancement de Vivre son âge
«Notre
société exalte la jeunesse, l’efficacité et le rendement. Un peu
comme si la vraie vie était à l’extérieur de soi. Naturellement, le
vieillissement, en diminuant nos capacités, nous mènerait à l’impasse.
Or, vivre, c’est plus que cela. C’est peu à peu devenir soi-même, c’est
s’approprier sa propre vie, lui donner un sens de l’intérieur. Et c’est
établir des relations plus profondes avec les gens qui nous entourent.» -
Lancement de Vivre son âge, une coproduction de l'Office de catéchèse du Québec et de la Conférence religieuse canadienne (Novalis), le 5 juin à la Librairie Paulines de Montréal.
Dans ce livre à la fois spirituel et pratique, André Beauchamp - qui écrit dans quelques publications membres de l'AMéCO - invite les personnes des troisième et quatrième âges à réfléchir sur leurs préoccupations de manière à en mieux saisir la portée au quotidien.
Lancement de Vivre son âge, une coproduction de l'Office de catéchèse du Québec et de la Conférence religieuse canadienne (Novalis), le 5 juin à la Librairie Paulines de Montréal.
Dans ce livre à la fois spirituel et pratique, André Beauchamp - qui écrit dans quelques publications membres de l'AMéCO - invite les personnes des troisième et quatrième âges à réfléchir sur leurs préoccupations de manière à en mieux saisir la portée au quotidien.
jeudi 31 mai 2018
Une page Facebook pour l'AMéCO
mercredi 30 mai 2018
Relations: faire mémoire
«La mémoire est invitation à l’aventure. Une aventure humaine – condamnée à la liberté, pour reprendre l’expression de Hannah Arendt, traversée inévitablement de conflits, de rapports de pouvoir et de domination, d’injustice – qui prend donc souvent la forme de luttes», écrit Jean-Claude Ravet en introduction au plus récent numéro de Relations consacré à la mémoire des luttes au Québec.
«Or, dans les méandres de cette existence marquée par les luttes pour la justice et une vie digne, libre et responsable, la mémoire a le don d’insuffler courage et persévérance. Comme si la remémoration du combat passé des asservis, des exclus, des indignes, leurs souffles vivifiants comme leurs rêves écrasés, venaient à la rescousse des luttes présentes, souvent en butte à l’essoufflement, aux découragements», ajoute-t-il.
«Or, dans les méandres de cette existence marquée par les luttes pour la justice et une vie digne, libre et responsable, la mémoire a le don d’insuffler courage et persévérance. Comme si la remémoration du combat passé des asservis, des exclus, des indignes, leurs souffles vivifiants comme leurs rêves écrasés, venaient à la rescousse des luttes présentes, souvent en butte à l’essoufflement, aux découragements», ajoute-t-il.
mardi 29 mai 2018
Le Précurseur: Carole Guévin
«Depuis bientôt 15 ans, j’ai eu du bonheur à travailler avec les membres de la Presse Missionnaire MIC comme adjointe à la direction. Ce travail a été avant tout une mission dans laquelle je me suis investie avec tout mon coeur, mes énergies et mes convictions profondes», écrit Carole Guévin de la revue Le Précurseur.
«Ce n’est qu’en 2015, avant même de commencer le projet de numérisation de la revue, que s’est amorcée une réflexion quant à mon projet de retraite. À la suite d’évènements marquants et significatifs, j’ai réalisé que la vie m’appelait à des engagements différents et qu’une nouvelle voie se traçait devant moi», ajoute-t-elle.
Carole Guévin, qui a participé à de nombreux congrès de l'ACPC et de l'AMéCO, a débuté à la revue le 8 novembre 2004. Son dernier jour de travail fut le 26 avril 2018. On lui a organisé ce jour-là une fête, un «moment inoubliable», confie-t-elle.
«Ce n’est qu’en 2015, avant même de commencer le projet de numérisation de la revue, que s’est amorcée une réflexion quant à mon projet de retraite. À la suite d’évènements marquants et significatifs, j’ai réalisé que la vie m’appelait à des engagements différents et qu’une nouvelle voie se traçait devant moi», ajoute-t-elle.
Carole Guévin, qui a participé à de nombreux congrès de l'ACPC et de l'AMéCO, a débuté à la revue le 8 novembre 2004. Son dernier jour de travail fut le 26 avril 2018. On lui a organisé ce jour-là une fête, un «moment inoubliable», confie-t-elle.
lundi 28 mai 2018
Vers demain: Gaudete et exsultate
«C’est vraiment la volonté de Dieu que nous devenions tous des saints, et le pape François le prouve sans équivoque dans sa nouvelle exhortation apostolique Gaudete et exsultate (Soyez dans la joie et l’allégresse) sur l’appel à la sainteté dans le monde actuel», écrit Alain Pilote, rédacteur, dans le plus récent numéro de Vers demain.
Le texte de cette exhortation occupe près de la moitié des pages de ce numéro. «Bonne lecture, et bon progrès dans votre cheminement pour devenir saint», ajoute le rédacteur.
Le texte de cette exhortation occupe près de la moitié des pages de ce numéro. «Bonne lecture, et bon progrès dans votre cheminement pour devenir saint», ajoute le rédacteur.
dimanche 27 mai 2018
Pastorale-Québec: les 50 ans de Vie liturgique
Dans Pastorale-Québec, René Tessier, rédacteur en chef, souligne le 50e anniversaire de la revue Vie liturgique.
«C’est au printemps 1968 qu’à la suggestion d’une équipe travaillant au diocèse de Québec, la revue bien connue de soutien à l’animation des célébrations liturgiques a vu le jour. Au début, il ne s’agissait que d’un modeste bulletin de huit pages, nous explique l’actuel rédacteur en chef de Vie liturgique et de Prions en Église, Jean Grou, paroissien engagé à Notre-Dame-de-Foy. Mais, rapidement, ledit bulletin prendra de l’expansion, passera sous la responsabilité des diocèses de l’Inter-Québec (Québec, La Pocatière, Chicoutimi, Trois-Rivières, Rimouski et Nicolet) et fera l’objet d’une incorporation en 1975.»
Il indique ensuite que «Vie liturgique a été rachetée par Novalis (déjà éditeur-distributeur du Prions en Église) en 1996. Ses locaux ont migré de Québec vers l’Université Saint-Paul d’Ottawa pour y rejoindre le personnel de production de Novalis. Celui-ci, qui édite aussi des livres en quantité, a à son tour été acquis par Bayard en 2008 et ses bureaux sont désormais au centre-ville de Montréal.»
«C’est au printemps 1968 qu’à la suggestion d’une équipe travaillant au diocèse de Québec, la revue bien connue de soutien à l’animation des célébrations liturgiques a vu le jour. Au début, il ne s’agissait que d’un modeste bulletin de huit pages, nous explique l’actuel rédacteur en chef de Vie liturgique et de Prions en Église, Jean Grou, paroissien engagé à Notre-Dame-de-Foy. Mais, rapidement, ledit bulletin prendra de l’expansion, passera sous la responsabilité des diocèses de l’Inter-Québec (Québec, La Pocatière, Chicoutimi, Trois-Rivières, Rimouski et Nicolet) et fera l’objet d’une incorporation en 1975.»
Il indique ensuite que «Vie liturgique a été rachetée par Novalis (déjà éditeur-distributeur du Prions en Église) en 1996. Ses locaux ont migré de Québec vers l’Université Saint-Paul d’Ottawa pour y rejoindre le personnel de production de Novalis. Celui-ci, qui édite aussi des livres en quantité, a à son tour été acquis par Bayard en 2008 et ses bureaux sont désormais au centre-ville de Montréal.»
samedi 26 mai 2018
Le Messager de Saint-Antoine: milieu carcéral
«En avril 2016, j’ai été plongé dans une situation dont je ne soupçonnais pas la profondeur humaine et spirituelle; je parle ici de mes visites régulières à l’un de mes amis qui actuellement est incarcéré dans un Centre de détention», raconte le capucin Michel Gagné dans le numéro de mai du Messager de Saint-Antoine.
«Pour vous dire très franchement, même après avoir entendu souvent cette parole de Jésus qui nous invite à visiter les prisonniers, je n’avais pas bien compris et bien saisi l’exigence de cette démarche. Je n’ai aucune expérience d’accompagnement pastoral dans ce domaine et très peu de connaissance du milieu carcéral et de notre système judiciaire. Je suis en train de découvrir tout un monde complexe et mystérieux. Ce que je peux dire en toute discrétion, c’est que la prison, c’est un bassin de grandes et de profondes souffrances.»
«Pour vous dire très franchement, même après avoir entendu souvent cette parole de Jésus qui nous invite à visiter les prisonniers, je n’avais pas bien compris et bien saisi l’exigence de cette démarche. Je n’ai aucune expérience d’accompagnement pastoral dans ce domaine et très peu de connaissance du milieu carcéral et de notre système judiciaire. Je suis en train de découvrir tout un monde complexe et mystérieux. Ce que je peux dire en toute discrétion, c’est que la prison, c’est un bassin de grandes et de profondes souffrances.»
jeudi 24 mai 2018
Notre-Dame-du-Cap: hommage aux religieuses
Rendant hommage aux bonnes soeurs, l'oblat Paul Arsenault se demande «que serait le visage du Québec sans ces réalisations colossales qu’ont accomplies ces milliers de femmes au coeur de feu?»
«Femmes de dévouement et de compassion dans les hôpitaux en y investissant leur temps, leurs compétences, leur argent. Femmes vouées à l’instruction, à l’éducation dans les écoles de nos villes et de nos campagnes. Femmes de grande humanité et de bonté auprès des enfants abandonnés, des orphelins, y compris ceux de Duplessis...», écrit-il dans le numéro de mai de Notre-Dame-du-Cap.
Il estime que «le Québec de ce millénaire a tout avantage à s'inspirer de leur créativité, de leur sagesse et de leur savoir-faire, de leur gestion, même dans le monde des affaires».
«Femmes de dévouement et de compassion dans les hôpitaux en y investissant leur temps, leurs compétences, leur argent. Femmes vouées à l’instruction, à l’éducation dans les écoles de nos villes et de nos campagnes. Femmes de grande humanité et de bonté auprès des enfants abandonnés, des orphelins, y compris ceux de Duplessis...», écrit-il dans le numéro de mai de Notre-Dame-du-Cap.
Il estime que «le Québec de ce millénaire a tout avantage à s'inspirer de leur créativité, de leur sagesse et de leur savoir-faire, de leur gestion, même dans le monde des affaires».
mardi 22 mai 2018
Missions Étrangères: habiter un bidonville
«Adolescent, j’ai fait partie d’un club étudiant qui favorisait les échanges entre des jeunes du pays et d’autres de l’étranger. Participer aux activités de ce groupe était très stimulant. Un jour, pour mieux nous connaitre, on nous a demandé de remplir un formulaire. Une des questions portait sur le type d’habitation où nous vivions. Nous devions encercler un pictogramme représentant soit un appartement, une maisonnette ou un bungalow. J’ai été incapable d’y répondre. Perplexe, je me suis demandé si j’étais le seul membre du club à habiter un bidonville», écrit Michael Nadebu dans le numéro de mai de Missions Étrangères.
L'auteur, candidat au sacerdoce, a emménagé à Kibera, au Kenya, à l'âge de 14 ans. «Kibera est l’un des plus importants bidonvilles d’Afrique. Près d’un million de personnes y vivent sur une superficie de moins de trois kilomètres carrés», explique-t-il.
L'auteur, candidat au sacerdoce, a emménagé à Kibera, au Kenya, à l'âge de 14 ans. «Kibera est l’un des plus importants bidonvilles d’Afrique. Près d’un million de personnes y vivent sur une superficie de moins de trois kilomètres carrés», explique-t-il.
lundi 21 mai 2018
Spiritualitésanté: le beau
«Mon père, dans les dernières années de sa vie, avait l’esprit malade, atteint comme de trop nombreuses personnes âgées, par la démence d’Alzheimer. Mais cette maladie ne l’a pas empêché de jouer son rôle de père, de continuer à m’enseigner la vie et surtout de me faire goûter la beauté des choses et des gens. Cet enseignement a été particulièrement percutant pour moi, car mon père, avant de devenir malade, était un homme de peu de mots. Et curieusement, alors que la maladie le privait graduellement de sa capacité à s’exprimer, il trouvait toujours des mots pour dire le beau: beauté d’un paysage, beauté d’une personne, beauté d’un geste», écrit Marie-Chantal Couture, directrice, dans le plus récent numéro de Spiritualitésanté consacré à la beauté.
dimanche 20 mai 2018
La cloche Marguerite-Michel
«La cloche Marguerite-Michel fut fondue à Londres en 1802 par Thomas Mears pour la paroisse de Pierreville qui la refusa. Achetée en 1806 par la paroisse de Saint-Denis, elle fut installée dans l’un des clochers de son église et y joua tous les rôles d’une cloche en pays chrétien jusqu’en 1922. Dieu sait qu’à cette époque, le Québec étant devenu très religieux, les cérémonies se multipliaient et la cloche sonnait souvent», écrit Onil Perrier.
Membre-fondateur et secrétaire-trésorier du tout premier exécutif de l'ACPC, ancienne appellation de l'AMéCO, Onil Perrier vient de publier, aux Éditions Histoire Québec, la brochure intitulée Marguerite-Michel. La cloche de la liberté du Québec et du Canada.
Onil Perrier est membre honoraire de l'AMéCO.
Membre-fondateur et secrétaire-trésorier du tout premier exécutif de l'ACPC, ancienne appellation de l'AMéCO, Onil Perrier vient de publier, aux Éditions Histoire Québec, la brochure intitulée Marguerite-Michel. La cloche de la liberté du Québec et du Canada.
Onil Perrier est membre honoraire de l'AMéCO.
S'abonner à :
Messages (Atom)