«Aucun miracle, aucune âme sauvée de son vivant de missionnaire, quelques membres du peuple auprès duquel il a œuvré ont même, aux dernières nouvelles, leur carte d’abonné de l’État islamique, et il n’a eu aucun disciple de son vivant…»
Ainsi débute le portrait qu'on donne de Charles de Foucauld dans le plus récent numéro du Verbe.
«Il est l’exemple même du don gratuit, de l’amour sans retour envers Dieu et envers son prochain, le témoignage que la béatitude éternelle se fait selon les conditions de Dieu dans une réciprocité plus que bienveillante du Père envers l’homme, et où l’homme ne dicte pas à son Père, mais accueille toujours en disant: Non pas ce que je veux, mais ce que tu veux!», écrit Mathieu-Élie du Précieux-Sang, petit frère de la Croix.
lundi 31 juillet 2017
dimanche 30 juillet 2017
Relations: Canada
«Le Canada fait partie de notre paysage intérieur, histoire, politique et culture obligent. Même pour les indépendantistes les plus invétérés comme moi», écrit Jean-Claude Ravet, rédacteur en chef de Relations dans le numéro d'été de la revue consacré au 150e anniversaire de la Confédération.
«Dans le contexte des festivités officielles, notre dossier jouera peut-être le rôle de casseux de party. Il ne cherche en fait qu’à remettre les pendules à l’heure pour sortir des ornières du présent, en appelant à une refondation radicale sur des bases démocratiques et plurinationales – pouvant aboutir à une implosion du pays, pour les tenants de l’option indépendantiste québécoise, mais pas nécessairement», ajoute-t-il.
«Dans le contexte des festivités officielles, notre dossier jouera peut-être le rôle de casseux de party. Il ne cherche en fait qu’à remettre les pendules à l’heure pour sortir des ornières du présent, en appelant à une refondation radicale sur des bases démocratiques et plurinationales – pouvant aboutir à une implosion du pays, pour les tenants de l’option indépendantiste québécoise, mais pas nécessairement», ajoute-t-il.
samedi 29 juillet 2017
Le Brigand: Grèce
«Si Le Brigand nous emmène, par ce numéro et dans le prochain, au pays de la naissance de la démocratie, de l’origine de la tragédie au théâtre, des racines de l’olympisme, ce n’est pas avec nostalgie ou en référence aux premières décennies de l’ère chrétienne», écrit Pierre Bélanger, directeur, en introduction au 525e numéro de la publication.
«C’est parce qu’il s’y passe maintenant des brassages sociaux qui interpellent les jésuites. Ceux-ci doivent inventer de nouveaux modes de présence, de service; ils se font missionnaires en réponse aux signes des temps.»
«C’est parce qu’il s’y passe maintenant des brassages sociaux qui interpellent les jésuites. Ceux-ci doivent inventer de nouveaux modes de présence, de service; ils se font missionnaires en réponse aux signes des temps.»
vendredi 28 juillet 2017
Le gazouillis de la semaine
Chaque vendredi, un tweet qui intéressera tout particulièrement les membres de l'AMéCO par sa pertinence, son style, ses images et/ou son propos.
Launching. It's cold. People are tired. See you at Shawanaga Landing #CanoePilgrimage pic.twitter.com/eYLGdoR5wQ— CanoePilgrimage (@CanoePilgrimage) 24 juillet 2017
jeudi 27 juillet 2017
Saint François de Laval: Montréal
«En tant que vicaire apostolique, évêque de Québec, puis Mgr l’Ancien, François de Laval se rend au moins dix fois à Montréal. Les dates de 1660, 1664, 1668, 1669, 1676, 1678, 1681, 1688 et 1702 sont confirmées. À la dernière visite de l’évêque, M. Tremblay, procureur du Séminaire de Québec en France, s’inquiète de sa santé, mais loue son courage de voyager pour administrer le sacrement de confirmation en l’absence de l’évêque titulaire.»
Le numéro de mai du bulletin Saint François de Laval consacre un long papier aux relations entre Mgr de Laval et les premiers habitants de Montréal.
Le numéro de mai du bulletin Saint François de Laval consacre un long papier aux relations entre Mgr de Laval et les premiers habitants de Montréal.
mercredi 26 juillet 2017
Le Verbe: visite en prison
«Ce n’est pas tous les jours qu’un screw s’ouvre à vous. Pardon! Un agent des services correctionnels, mieux connu sous le nom de gardien de prison. Marilyn et François l’ont fait. Nous avons parlé quelques heures. Nous aurions pu étaler ça sur des jours. Chacun pourrait écrire un livre à sensation, ou plutôt un guide de survie.»
Ainsi débute le reportage réalisé par Brigitte Bédard dans le magazine Le Verbe. «Une prison, c’est comme une ville; nous, on est les policiers, et tous les citoyens sont des bandits», dit l'un des gardien.
Les noms des deux interviewés ont été changés afin de préserver leur anonymat.
Ainsi débute le reportage réalisé par Brigitte Bédard dans le magazine Le Verbe. «Une prison, c’est comme une ville; nous, on est les policiers, et tous les citoyens sont des bandits», dit l'un des gardien.
Les noms des deux interviewés ont été changés afin de préserver leur anonymat.
mardi 25 juillet 2017
Église de Trois-Rivières: souhaits
«Prendre du temps pour soi... Prendre du temps avec les gens que j’aime et que je n’ai pas le temps de visiter comme je le souhaiterais pendant l’année; parce que trop débordé par l’ampleur de la tâche qui est la mien-ne. Prendre du temps pour saluer les personnes que je croise sur la route de mes vacances. Prendre le temps de savourer avec tous mes sens la beauté de Sa création. S’émerveiller, encore et toujours, devant une fleur, un arc-en-ciel, un coucher de soleil, un enfant qui joue et ne pas oublier de rendre grâce à Dieu pour tout ce qu’Il a créé.»
Des souhaits de Jasmine Johnson, directrice de l'Église de Trois-Rivières, insérés dans le numéro d'été de la publication.
Des souhaits de Jasmine Johnson, directrice de l'Église de Trois-Rivières, insérés dans le numéro d'été de la publication.
lundi 24 juillet 2017
Le Bulletin SPV: Madagascar
Le numéro de juin du Bulletin SPV (pour Service de préparation à la vie) explique que le responsable général du SPV, le religieux Jean-Marc Saint-Jacques - aussi directeur général du Collège Bourget de Rigaud - séjournera deux semaines à Madagascar. Il y rencontrera les différentes équipes SPV du pays.
dimanche 23 juillet 2017
L'Envoi: départ
«Finalement, je veux tous vous remercier, vous, chers lecteurs. Ceci est probablement mon dernier mot de la rédactrice. D'autres belles aventures se présentent à moi et je serai sous peu sur mon départ. Je suis remplie de gratitude et de plénitude quand je repense à toutes ces belles rencontres, aux belles amitiés créées, autant au sein de l'équipe qu'ailleurs. Une expérience non prévue sur mon chemin de près de trois ans, et que je ne regrette aucunement», écrit Catherine D. Marcoux, coordonnatrice et rédactrice, dans le numéro de L'Envoi de juin 2017.
L'Envoi est la publication du diocèse de Saint-Hyacinthe.
L'Envoi est la publication du diocèse de Saint-Hyacinthe.
samedi 22 juillet 2017
SpiritualitéSanté: passages
«Qu’il soit question de maladie, de handicap, d’accidents, de la perte d’un proche, d’une hospitalisation, d’un hébergement en maison de personnes âgées, d’une entrée définitive dans des logiques de soins palliatifs, ne s’agit-il pas finalement de passages parmi d’autres au sein de l’existence?», demande Nicolas Vonarx, membre du comité de rédaction de la revue SpiritualitéSanté.
«Certes, ils évoquent des pertes, sonnent fort à nos oreilles et interpellent largement ce que nous devenons, en bouleversant le référentiel sur lequel la vie prend ses élans. Mais d’abord, ne sont-ils pas tout bonnement d’excellents rappels à propos des règles de la vie? Là, ne sommes-nous pas continuellement dans des passages et des entre-passages où se présentent un calme, une sédimentation et un sentiment d’assurance transitoires? Ne sommes-nous pas toujours en chemin, à passer d’âge en âge, d’état à état, de rôle en rôle, de présence en présence dans le monde, de relations en relations, de regard en regard sur les choses qui nous entourent…, bref, à passer de soi à soi, transformé et renouvelé par l’œuvre du temps?»
«Certes, ils évoquent des pertes, sonnent fort à nos oreilles et interpellent largement ce que nous devenons, en bouleversant le référentiel sur lequel la vie prend ses élans. Mais d’abord, ne sont-ils pas tout bonnement d’excellents rappels à propos des règles de la vie? Là, ne sommes-nous pas continuellement dans des passages et des entre-passages où se présentent un calme, une sédimentation et un sentiment d’assurance transitoires? Ne sommes-nous pas toujours en chemin, à passer d’âge en âge, d’état à état, de rôle en rôle, de présence en présence dans le monde, de relations en relations, de regard en regard sur les choses qui nous entourent…, bref, à passer de soi à soi, transformé et renouvelé par l’œuvre du temps?»
vendredi 21 juillet 2017
Le gazouillis de la semaine
Chaque
vendredi,
un tweet qui intéressera tout particulièrement les membres de l'AMéCO
par sa pertinence, son style, ses images et/ou son propos.
Le père Zollner réagit à l'affaire des abus dans le choeur de Ratisbonne - Radio Vatican https://t.co/VD1QWTQLoG— Sel + Lumière (@seletlumieretv) 20 juillet 2017
jeudi 20 juillet 2017
Relations: 150e anniversaire de la confédération
«Ceux qu’on appelle les Pères de la Confédération ont plutôt la carrure d’hommes d’affaires ambitieux que celle de fondateurs, représentants qu’ils étaient d’une bourgeoisie avide de faire main-basse sur ce vaste territoire riche en ressources au profit de leur enrichissement privé», écrit Jean-Claude Ravet en introduction au dossier de Relations sur le 150e anniversaire de la Confédération canadienne,
«La fondation du Canada comme nation indépendante de l’Empire britannique est en effet indissociable d’une entreprise mercantile bien orchestrée de la part d’une élite qui voyait d’un bon œil son émancipation relative de l’empire, celle-ci permettant le déploiement d’institutions nationales adaptées à leurs intérêts très privés.»
«La fondation du Canada comme nation indépendante de l’Empire britannique est en effet indissociable d’une entreprise mercantile bien orchestrée de la part d’une élite qui voyait d’un bon œil son émancipation relative de l’empire, celle-ci permettant le déploiement d’institutions nationales adaptées à leurs intérêts très privés.»
mercredi 19 juillet 2017
Chemins franciscains: clôture religieuse
«En 1566, le pape Pie V interprète avec rigidité le concile de Trente et décrète que toutes les femmes appartenant à quelque ordre que ce soit doivent prononcer des vœux solennels et que toutes celles qui font ces vœux sont tenues à la clôture religieuse. En France, les communautés enseignantes ou soignantes sont alors soumises à la loi canonique des contemplatives. Elles pouvaient certes recevoir des élèves, des pauvres ou des malades dans certaines parties de leurs maisons, mais elles ne pouvaient exercer une action apostolique à l’extérieur, ce qui les coupait du monde et des personnes au service desquelles elles se destinaient», rappelle l'ex-députée Louise Harel dans une conférence prononcée en 2015.
Chemins franciscains publie de larges extraits de cette conférence dans le tout premier numéro de ce webzine. Ce numéro est consacré au 375e anniversaire de Montréal.
Chemins franciscains publie de larges extraits de cette conférence dans le tout premier numéro de ce webzine. Ce numéro est consacré au 375e anniversaire de Montréal.
mardi 18 juillet 2017
Intercommunication: lire notre histoire
Dans le bulletin Intercommunication (diocèse de Sainte-Anne de la Pocatière), Nicole Paradis suggère, pour les vacances estivales, de «partir à la découverte de la région que nous habitons ou celles situées à proximité et savoir, au cours de ces balades, prendre le temps de relire notre histoire».
«Pour qui s’arrêtera pour visiter un village historique, composé habituellement de bâtisses d’origine et d’autres qui sont des reconstitutions, ce pourrait être l’occasion de lire plus que ce que nous y voyons. Ces lieux, tout comme la vue de maisons, bâtiments de fermes ou d’une petite scierie laissés à l’abandon plus récemment, nous parlent de différentes époques de notre histoire: celle des premiers temps de la colonisation, du temps plus récent de l’exil vers les villes d’une partie de notre population. Notre histoire est aussi écrite, ici et là, dans un paysage qui ne retient plus notre attention.»
«Pour qui s’arrêtera pour visiter un village historique, composé habituellement de bâtisses d’origine et d’autres qui sont des reconstitutions, ce pourrait être l’occasion de lire plus que ce que nous y voyons. Ces lieux, tout comme la vue de maisons, bâtiments de fermes ou d’une petite scierie laissés à l’abandon plus récemment, nous parlent de différentes époques de notre histoire: celle des premiers temps de la colonisation, du temps plus récent de l’exil vers les villes d’une partie de notre population. Notre histoire est aussi écrite, ici et là, dans un paysage qui ne retient plus notre attention.»
lundi 17 juillet 2017
Rencontre: élection présidentielle française
Comment interpréter les résultats de l'élection présidentielle française? Le webzine Rencontre l'a demandé à Jean-Francis Clermont-Legros, docteur en histoire des États-Unis et chercheur au Département d’histoire de l’UQAM.
Il note que «le vote blanc (11,47 %) et le taux d’abstention (25,44 %) ont été très élevés. Ce mouvement confirme la désaffection de beaucoup d’électeurs français envers leurs institutions politiques. Il est indéniable que la tradition d’engagement politique en France remontant à Mai 1968 s’est effritée. La France ne fait pas exception au mouvement occidental de désintérêt de larges segments de la population envers le politique».
«Ensuite, ajoute le chercheur, il est possible d’observer une montée de formations politiques éloignées des instances décisionnelles nationales. Au Québec, on emploie, pour désigner de telles formations, l’expression tiers partis, propre au système parlementaire d’inspiration britannique. Le mouvement En Marche! d’Emmanuel Macron ne s’inscrit pas dans la veine des partis ayant déjà gouverné, ce que les politologues anglophones appellent les ruling parties.»
Ce qui inquiète Jean-Francis Clermont-Legros, c'est «la popularité grandissante des idées fascistes de l’extrême-droite marquées par l’intolérance, le rejet des différences, la critique des libertés fondamentales et la méfiance envers les musulmans».
Il note que «le vote blanc (11,47 %) et le taux d’abstention (25,44 %) ont été très élevés. Ce mouvement confirme la désaffection de beaucoup d’électeurs français envers leurs institutions politiques. Il est indéniable que la tradition d’engagement politique en France remontant à Mai 1968 s’est effritée. La France ne fait pas exception au mouvement occidental de désintérêt de larges segments de la population envers le politique».
«Ensuite, ajoute le chercheur, il est possible d’observer une montée de formations politiques éloignées des instances décisionnelles nationales. Au Québec, on emploie, pour désigner de telles formations, l’expression tiers partis, propre au système parlementaire d’inspiration britannique. Le mouvement En Marche! d’Emmanuel Macron ne s’inscrit pas dans la veine des partis ayant déjà gouverné, ce que les politologues anglophones appellent les ruling parties.»
Ce qui inquiète Jean-Francis Clermont-Legros, c'est «la popularité grandissante des idées fascistes de l’extrême-droite marquées par l’intolérance, le rejet des différences, la critique des libertés fondamentales et la méfiance envers les musulmans».
dimanche 16 juillet 2017
Vivre et célébrer: nouvelles paroisses
«La pastorale d’Église établie fait de nous les hôtes de ceux qui viennent frapper à notre porte, qui viennent participer aux célébrations, etc. Ils viennent, se pliant à nos horaires, à nos habitudes, à nos styles», écrit le théologien Gilles Routhier dans le plus récent numéro de Vivre et célébrer.
«Vivre chez l’autre, c’est renoncer à contrôler l’espace, renoncer à nos affaires, à notre rythme, etc. La vie de l’autre, ce qui l’occupe et le préoccupe, ses joies et ses espoirs viennent en premier. La vie missionnaire nous fait passer du bien établi au pauvrement établi: organisation, bâtiments, manières, budgets, mentalités, juridisme.»
«Vivre chez l’autre, c’est renoncer à contrôler l’espace, renoncer à nos affaires, à notre rythme, etc. La vie de l’autre, ce qui l’occupe et le préoccupe, ses joies et ses espoirs viennent en premier. La vie missionnaire nous fait passer du bien établi au pauvrement établi: organisation, bâtiments, manières, budgets, mentalités, juridisme.»
samedi 15 juillet 2017
Arrivée de Chemins franciscains
La Nouvelle Revue franciscaine n’existe plus. C'est dorénavant le webzine Chemins franciscains qui remplace cette publication électronique.
«Vous avez remarqué la nouvelle mouture sous laquelle se présente votre revue. Nous avons voulu dynamiser la présentation de nos collaborateurs et collaboratrices afin d’en faciliter l’accès et d’unifier la présentation. En revoyant la présentation de la revue, il nous est apparu nécessaire aussi de revoir son appellation: Chemins franciscains. C’est sous ce nouveau nom que vous sera présentée à l’avenir notre revue», écrit Étienne Godard, secrétaire du comité de rédaction, dans le premier numéro paru sur le Web.
On indique aussi que «dès l’automne, les numéros de la Nouvelle Revue franciscaine parus depuis août 2013 seront archivés dans le nouveau site».
«Vous avez remarqué la nouvelle mouture sous laquelle se présente votre revue. Nous avons voulu dynamiser la présentation de nos collaborateurs et collaboratrices afin d’en faciliter l’accès et d’unifier la présentation. En revoyant la présentation de la revue, il nous est apparu nécessaire aussi de revoir son appellation: Chemins franciscains. C’est sous ce nouveau nom que vous sera présentée à l’avenir notre revue», écrit Étienne Godard, secrétaire du comité de rédaction, dans le premier numéro paru sur le Web.
On indique aussi que «dès l’automne, les numéros de la Nouvelle Revue franciscaine parus depuis août 2013 seront archivés dans le nouveau site».
vendredi 14 juillet 2017
Le gazouillis de la semaine
Chaque
vendredi,
un tweet qui intéressera tout particulièrement les membres de l'AMéCO
par sa pertinence, son style, ses images et/ou son propos.
Pour les 500 ans de la Réforme protestante, nous revenons sur les points d'achoppement entre les deux confessions ➡️ https://t.co/n68oNXoUzs pic.twitter.com/YUujOt1Pag— La Vie (@LaVieHebdo) 12 juillet 2017
jeudi 13 juillet 2017
Parabole: évangile de Marc
Marc écrit l’évangile au moment où le processus d’institutionnalisation du christianisme commence à s’opérer avec une certaine vigueur», explique Guy Bonneau, professeur titulaire à la Faculté de théologie et de sciences religieuses de l'Université Laval, dans le numéro de juin de Parabole.
«Son récit témoigne non seulement de la situation charismatique qui le précède, mais aussi des difficultés et des tensions que ce changement soulève à l’intérieur de sa communauté, et des conflits d’autorité qui y sont rattachés, car plusieurs sont avides d’obtenir les premières places dans l’organisation naissante de l’Église.»
«Son récit témoigne non seulement de la situation charismatique qui le précède, mais aussi des difficultés et des tensions que ce changement soulève à l’intérieur de sa communauté, et des conflits d’autorité qui y sont rattachés, car plusieurs sont avides d’obtenir les premières places dans l’organisation naissante de l’Église.»
mercredi 12 juillet 2017
Pèlerins en marche: changements rédactionnels
Gisèle Bourgault quitte la rédaction en chef de la revue Pèlerins en marche. La direction lui rend hommage dans le dernier numéro.
«Dire en seulement quelques mots toute notre reconnaissance pour avoir confirmé la survie du Pèlerins en marche n’est pas chose facile. Merci d’en avoir assuré la transition en dépit de tes nombreux engagements familiaux, sociaux et professionnels. Comment as-tu fait? Ce fut tout un exploit. Merci pour ton courage, tes efforts et ta détermination.»
«En ce moment, tu peux reprendre ton souffle. La relève est là en la personne de Lise Poulin-Morin et nous sommes sûrs qu’elle pourra compter sur ton soutien lorsque requis», ajoute-t-on.
En page 3, la nouvelle rédactrice en chef se présente dans un éditorial consacré au changement. «Mon nouvel engagement à travailler comme rédactrice de la revue Pèlerins en marche m’invite à continuer à aller vers les autres et de croire que je ne suis pas seule pour apprivoiser ce nouveau changement», écrit Lise Poulin-Morin.
«Dire en seulement quelques mots toute notre reconnaissance pour avoir confirmé la survie du Pèlerins en marche n’est pas chose facile. Merci d’en avoir assuré la transition en dépit de tes nombreux engagements familiaux, sociaux et professionnels. Comment as-tu fait? Ce fut tout un exploit. Merci pour ton courage, tes efforts et ta détermination.»
«En ce moment, tu peux reprendre ton souffle. La relève est là en la personne de Lise Poulin-Morin et nous sommes sûrs qu’elle pourra compter sur ton soutien lorsque requis», ajoute-t-on.
En page 3, la nouvelle rédactrice en chef se présente dans un éditorial consacré au changement. «Mon nouvel engagement à travailler comme rédactrice de la revue Pèlerins en marche m’invite à continuer à aller vers les autres et de croire que je ne suis pas seule pour apprivoiser ce nouveau changement», écrit Lise Poulin-Morin.
mardi 11 juillet 2017
Pauligraphies: poète en résidence
L'écrivaine Annie Lafleur a été choisie comme poète en résidence à la Librairie Paulines de Montréal, explique le plus récent numéro de Pauligraphies.
«Désirant renforcer la présence de la poésie dans le quartier Rosemont auprès des aînés, des adultes et des jeunes surtout, Annie Lafleur a réalisé des activités stimulantes. Avec la complicité de la librairie, elle a créé une vitrine dédiée à la poésie et des présentoirs qui mettaient en valeur des auteurs québécois. Elle a aussi mis sur pied un club de lecture de poésie et organisé des causeries avec des poètes», rapporte Louise Stafford, fsp.
«Désirant renforcer la présence de la poésie dans le quartier Rosemont auprès des aînés, des adultes et des jeunes surtout, Annie Lafleur a réalisé des activités stimulantes. Avec la complicité de la librairie, elle a créé une vitrine dédiée à la poésie et des présentoirs qui mettaient en valeur des auteurs québécois. Elle a aussi mis sur pied un club de lecture de poésie et organisé des causeries avec des poètes», rapporte Louise Stafford, fsp.
lundi 10 juillet 2017
Ensemble: religieuses
«La trentenaire que je suis n’avait jamais vraiment eu de lien avec les religieuses. Au Québec, l’époque où l’une de nos sœurs, cousines, tantes ou amies choisissait de « rentrer au couvent » est assez lointaine. Je n’avais donc jamais eu la chance de m’asseoir avec l’une de ces femmes et de discuter avec elle», raconte Eliane Thibault, directrice de la revue Ensemble (archidiocèse de Sherbrooke).
«Alors que je les croyais pratiquement dans un monde à part, je me suis plutôt rendu compte que nous n’étions pas si différentes. Se demander si nous sommes au bon endroit dans notre vie, si nous sommes vraiment heureuses, si nous pourrions faire plus pour notre société est aussi le propre des femmes qui ont choisi la vie religieuse.»
«Alors que je les croyais pratiquement dans un monde à part, je me suis plutôt rendu compte que nous n’étions pas si différentes. Se demander si nous sommes au bon endroit dans notre vie, si nous sommes vraiment heureuses, si nous pourrions faire plus pour notre société est aussi le propre des femmes qui ont choisi la vie religieuse.»
dimanche 9 juillet 2017
En Église: chronique dans le journal
«La chronique Église du Progrès-Dimanche est maintenant devenue la chronique Spiritualité dans le nouveau Progrès Week-End», explique Jacques Bouchard dans le numéro d'été d'En Église (diocèse de Chicoutimi).
«L’histoire de cette chronique remonte aux débuts du Progrès-Dimanche. M. Gaston Vachon, alors à la direction du journal, avait demandé à Mgr Marius Paré de songer à nommer quelqu’un pour assumer la responsabilité d’une page dans ce nouvel hebdo. Comme le Service diocésain d’information en était à ses premiers balbutiements, c’est le responsable de ce service, le Frère Paul-Eugène Marotte, le 1er juin 1969, puis Soeur Rose Laforest, antonienne, qui prirent en charge cette page sous le titre Présence nouvelle.»
«Le 7 décembre 1969, l’abbé Jacques Bouchard, de retour d’un stage d’étude en communication à l’Université St-Paul d’Ottawa, était nommé responsable du Service diocésain d’information, tout en demeurant vicaire à St-Jean-Vianney.»
«L’histoire de cette chronique remonte aux débuts du Progrès-Dimanche. M. Gaston Vachon, alors à la direction du journal, avait demandé à Mgr Marius Paré de songer à nommer quelqu’un pour assumer la responsabilité d’une page dans ce nouvel hebdo. Comme le Service diocésain d’information en était à ses premiers balbutiements, c’est le responsable de ce service, le Frère Paul-Eugène Marotte, le 1er juin 1969, puis Soeur Rose Laforest, antonienne, qui prirent en charge cette page sous le titre Présence nouvelle.»
«Le 7 décembre 1969, l’abbé Jacques Bouchard, de retour d’un stage d’étude en communication à l’Université St-Paul d’Ottawa, était nommé responsable du Service diocésain d’information, tout en demeurant vicaire à St-Jean-Vianney.»
samedi 8 juillet 2017
Il y a 31 ans
Le 24 septembre 1986, le quotidien Le Soleil annonçait, en page A2, que son journaliste René Beaudin allait recevoir le lendemain le prix de journalisme de l'ACPC lors du congrès annuel de l'association. Alors président de l'ACPC, Jean Paré dit que «son courage à dénoncer les mythes et préjugés de notre société» a valu au journaliste ce prix.
Bibliothèque et Archives nationales du Québec vient de terminer la numérisation de plus de 30 ans du journal Le Soleil (de 1972 à 2006).
Le prix de journalisme de l'ACPC porte maintenant le nom de Prix Claude-Masson.
Bibliothèque et Archives nationales du Québec vient de terminer la numérisation de plus de 30 ans du journal Le Soleil (de 1972 à 2006).
Le prix de journalisme de l'ACPC porte maintenant le nom de Prix Claude-Masson.
vendredi 7 juillet 2017
Le gazouillis de la semaine
Chaque
vendredi,
un tweet qui intéressera tout particulièrement les membres de l'AMéCO
par sa pertinence, son style, ses images et/ou son propos.
À diffuser: Appel de candidatures pour le poste de secrétaire général de l'Assemblée des évêques du Québec https://t.co/BJsWagex10— Évêques du Québec (@evequesQuebec) 3 juillet 2017
jeudi 6 juillet 2017
La Revue Sainte Anne: départ du directeur
À la page 7 du numéro d'été de La Revue Sainte Anne, on annonce le départ de Richard L'Archer, directeur de la publication depuis 2015. «C'est avec tristesse et reconnaissance que la direction de La Revue Sainte Anne dit au revoir à l'abbé Richard L'Archer qui y a été directeur pendant les deux dernières années. Richard a été appelé à relever de nouveaux défis et nous lui souhaitons le meilleur succès», peut-on lire.
Bulletin du CRCJ: une visite estivale
Le Bulletin du Centre Rosalie-Cadron-Jetté invite lecteurs et lectrices à visiter cet été la Maison Rosalie-Cadron.
«Une visite à la Maison familiale Rosalie-Cadron à Lavaltrie vous permettra de vivre un voyage dans le temps en vous retrouvant à l’époque de Rosalie dans la maison qui l’a vue naitre et grandir. De plus, vous y verrez l’exposition Une lueur dans la nuit sur la domestication du feu et l’exposition Entre l’ombre et la lumière avec les toiles de l’artiste Françoise Pascals. Des activités spéciales sont aussi prévues au programme», précise-t-on.
«Une visite à la Maison familiale Rosalie-Cadron à Lavaltrie vous permettra de vivre un voyage dans le temps en vous retrouvant à l’époque de Rosalie dans la maison qui l’a vue naitre et grandir. De plus, vous y verrez l’exposition Une lueur dans la nuit sur la domestication du feu et l’exposition Entre l’ombre et la lumière avec les toiles de l’artiste Françoise Pascals. Des activités spéciales sont aussi prévues au programme», précise-t-on.
mercredi 5 juillet 2017
Pastorale-Québec: lorsque la mort survient
«Lorsque la mort survient, on voudrait souvent pouvoir l’oublier aussi vite qu’elle est apparue, pour ne plus en ressentir les effets», écrit Marie-Édith Roy dans le numéro d'été de Pastorale-Québec.
«Lorsque qu’elle frappe de plein fouet comme la tuerie dans une mosquée de Québec, on ne peut pas détourner les yeux, puisqu’elle ébranle des familles endeuillées, des proches et une communauté tout entière. Derrière chacun de ces drames se cachent également des enfants qui pleurent et qui ont envie de comprendre pourquoi papa ou maman ne reviendra pas», poursuit-elle.
«Lorsque qu’elle frappe de plein fouet comme la tuerie dans une mosquée de Québec, on ne peut pas détourner les yeux, puisqu’elle ébranle des familles endeuillées, des proches et une communauté tout entière. Derrière chacun de ces drames se cachent également des enfants qui pleurent et qui ont envie de comprendre pourquoi papa ou maman ne reviendra pas», poursuit-elle.
mardi 4 juillet 2017
En Chantier: 30
«Il faut bien reconnaître qu'à ce jour plusieurs diocèses ont mis fin à leur publication sur papier pour ne plus offrir maintenant qu'une version électronique», note Jacques Tremblay, du comité de rédaction du bulletin En Chantier (archidiocèse de Rimouski).
Il souligne, dans l'ultime numéro de la publication, le professionnalisme et la rigueur de René DesRosiers, actuel directeur.
«Avec la fin d'En Chantier, nous tournons donc entre une fois une page importante de la vie diocésaine. Après En 4 pages (1970-1983), après Au cœur de la vie (1988-2003), En Chantier certes demeurera une précieuse référence pour qui voudra un jour mener une recherche sur la vie de notre Église», écrit Jacques Tremblay.
Il souligne, dans l'ultime numéro de la publication, le professionnalisme et la rigueur de René DesRosiers, actuel directeur.
«Avec la fin d'En Chantier, nous tournons donc entre une fois une page importante de la vie diocésaine. Après En 4 pages (1970-1983), après Au cœur de la vie (1988-2003), En Chantier certes demeurera une précieuse référence pour qui voudra un jour mener une recherche sur la vie de notre Église», écrit Jacques Tremblay.
lundi 3 juillet 2017
Prions en Église: bêtise
«Dans la période chaotique que nous traversons», écrit Jacques Lison, dans le Prions en Église de juillet, il y a des paroles et des réflexions qu'il convient de relire. Comme ce texte sur la bêtise rédigé par le «pasteur Dietrich Bonhoeffer qui l’a écrit sur un coin de table de sa prison sous le régime nazi un peu plus d’un an avant son exécution le 9 avril 1945».
«Si je reviens aujourd’hui si intensément à ces lignes sur la bêtise, ce n’est pas parce que la majorité des gens en serait atteinte, loin de là. Mais force est de constater que la montée de l’intolérance dans le monde est un fait qui n’épargne pas notre société. Profitons de l’été pour cultiver la libération intérieure en nous-mêmes et dans nos milieux. Elle est la seule victoire véritable sur la sottise. Obligeons les autorités à miser davantage sur l’intelligence que sur la bêtise des citoyens», conclut-il son éditorial.
«Si je reviens aujourd’hui si intensément à ces lignes sur la bêtise, ce n’est pas parce que la majorité des gens en serait atteinte, loin de là. Mais force est de constater que la montée de l’intolérance dans le monde est un fait qui n’épargne pas notre société. Profitons de l’été pour cultiver la libération intérieure en nous-mêmes et dans nos milieux. Elle est la seule victoire véritable sur la sottise. Obligeons les autorités à miser davantage sur l’intelligence que sur la bêtise des citoyens», conclut-il son éditorial.
dimanche 2 juillet 2017
Des fleurs pour Lucie Martineau
Dans le compte Twitter de Sel et Lumière, on a salué jeudi Lucie Martineau, directrice des communications auprès de l'archidiocèse de Montréal, qui a débuté sa retraite le 30 juin. Avant d’œuvrer à l'archidiocèse, Lucie Martineau a été adjointe aux communications pour l'Assemblée des évêques catholiques du Québec.
Meilleurs voeux de retraite à Lucie Martineau dir. com. @diocesemontreal -Un grand MERCI pour ces 30 ans au service de l'Église au #Québec pic.twitter.com/5NZkLfPij2— Sel + Lumière (@seletlumieretv) 29 juin 2017
Vie liturgique: vacances
«On tient parfois pour acquis que durant les mois de juillet et d’août, tout le monde est en vacances. Cette impression provient sans doute de notre enfance, alors que nous pouvions profiter du congé scolaire estival. La réalité est cependant tout autre. Beaucoup de gens ne bénéficient que de deux petites semaines de vacances. D’autres peuvent difficilement prendre congé, comme les employés des milieux de la restauration ou du tourisme, les propriétaires d’entreprises ou les travailleurs autonomes», écrit Jean Grou, le rédacteur en chef de Vie liturgique, dans le numéro estival de sa revue.
«Une chose est sûre, la liturgie, elle, ne prend pas de pause. Elle continue de marquer le temps au rythme de ses diverses célébrations. Elle se fait cependant plus sobre et dépouillée dans la plupart des milieux», reconnaît-il.
«Une chose est sûre, la liturgie, elle, ne prend pas de pause. Elle continue de marquer le temps au rythme de ses diverses célébrations. Elle se fait cependant plus sobre et dépouillée dans la plupart des milieux», reconnaît-il.
samedi 1 juillet 2017
Deux prix remis à Québec
Lors du récent congrès conjoint de Signis et de la Catholic Press Association, tenu à Québec au mois de juin, deux prix de journalisme et de communications ont été remis.
Joseph Sinasac, actuel éditeur chez Novalis, a reçu le prix de l'ARCCC, l'association de communicateurs catholiques du Canada anglophone. De 1995 à 2009, Joe Sinasac fut éditeur et rédacteur en chef du Catholic Register, un hebdomadaire publié par l'archidiocèse de Toronto. L'Association of Roman Catholic Communicators of Canada est actuellement dirigée Pam Aleman, directrice des communications au diocèse de Hamilton, en Ontario. L'ARCCC a tenu son assemblée générale annuelle lors du congrès Signis/CPA de Québec.
Thomas C. Fox a obtenu, le 22 juin à Québec, le Prix de journalisme Bishop John England. Ex-éditeur du National Catholic Reporter, le journaliste s'est dit fier du travail accompli par sa publication. «Nous avons osé poser des questions difficiles aux autorités, nous avons publié des reportages que bien des dirigeants ecclésiaux auraient préféré ne jamais lire et nous avons donné une tribune à des voix qui n'auraient jamais été entendues autrement», a-t-il dit dans une allocution prononcée à l'Université Laval. Le National Catholic Reporter a publié un texte sur ce prix. L'article est illustré par une photographie prise par Philippe Vaillancourt, rédacteur en chef de l'agence de presse Présence.
Joseph Sinasac, actuel éditeur chez Novalis, a reçu le prix de l'ARCCC, l'association de communicateurs catholiques du Canada anglophone. De 1995 à 2009, Joe Sinasac fut éditeur et rédacteur en chef du Catholic Register, un hebdomadaire publié par l'archidiocèse de Toronto. L'Association of Roman Catholic Communicators of Canada est actuellement dirigée Pam Aleman, directrice des communications au diocèse de Hamilton, en Ontario. L'ARCCC a tenu son assemblée générale annuelle lors du congrès Signis/CPA de Québec.
Thomas C. Fox a obtenu, le 22 juin à Québec, le Prix de journalisme Bishop John England. Ex-éditeur du National Catholic Reporter, le journaliste s'est dit fier du travail accompli par sa publication. «Nous avons osé poser des questions difficiles aux autorités, nous avons publié des reportages que bien des dirigeants ecclésiaux auraient préféré ne jamais lire et nous avons donné une tribune à des voix qui n'auraient jamais été entendues autrement», a-t-il dit dans une allocution prononcée à l'Université Laval. Le National Catholic Reporter a publié un texte sur ce prix. L'article est illustré par une photographie prise par Philippe Vaillancourt, rédacteur en chef de l'agence de presse Présence.
David Fines à Leipzig
Ex-directeur d'Aujourd'hui Credo, David Fines est actuellement à Leipzig, en Allemagne, afin de participer au Conseil général de la Communion mondiale d’Églises réformées.
Il fera partie de l'équipe des communications de ce congrès. Pour suivre les débats de cette rencontre internationale, on peut lire ses commentaires quotidiens dans le site Web de l'Église Unie Saint-Jean, une paroisse montréalaise dont il est le pasteur.
Il fera partie de l'équipe des communications de ce congrès. Pour suivre les débats de cette rencontre internationale, on peut lire ses commentaires quotidiens dans le site Web de l'Église Unie Saint-Jean, une paroisse montréalaise dont il est le pasteur.
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