«Mme Bombardier nous a d’abord confié avoir spontanément accepté cette invitation sans même vérifier son agenda, tant elle tenait à y être.» Rédacteur en chef de la revue Pastorale-Québec, René Tessier propose un reportage sur ce colloque sur la vie consacrée tenu en octobre à l'Université Laval et auquel la journaliste et animatrice Denise Bombardier a participé et a «brillamment volé la vedette».
«S’adressant plus particulièrement aux religieuses (80% de l’assistance), elle a lancé le même cri du cœur qu’il y a une vingtaine d’années: Mes sœurs, on ne vous voit plus, on ne vous entend plus; pourtant nous avons bien besoin de vous. Dans notre société d’individualisme triomphant, il y a peut-être peu d’avenir pour la vie religieuse traditionnelle mais celle-ci est pourtant plus nécessaire que jamais: Vous qui avez fait le choix de l’anti-apparence, dans ce monde axé sur l’apparence, vous pouvez apporter un supplément d’âme, vous témoignez qu’il y a quelque chose de plus grand que nous seuls. Tant de gens vivent dans le désarroi: Les personnes plus fragiles éprouvent du mal à surnager dans notre société de dérision, il faut des êtres comme vous pour les sauver.»
jeudi 31 décembre 2015
mercredi 30 décembre 2015
Bulletin de communication: miséricorde
«Dans un monde marqué par la violence, la haine, les guerres, l’injustice et le terrorisme ─ l’horreur des événements survenus à Paris le 13 novembre le montre bien ─ le pape François désire que les catholiques et toute personne de bonne volonté témoignent de l’amour miséricordieux de Dieu et reflètent la compassion de Dieu à travers leurs paroles et leurs actions. Il veut aussi que les catholiques redécouvrent la valeur et la nécessité du sacrement du pardon et de la réconciliation», écrit Mgr Noël Simard, évêque de Valleyfield, dans une lettre pastorale sur la miséricorde publiée dans le numéro de décembre du Bulletin de communication.
mardi 29 décembre 2015
En communion: faits saillants
«Pour ce dernier mot de l’année 2015, je vous soumets quelques faits saillants qui nous font voir le cœur de notre Église diocésaine dans un élan de conversion sincère», écrit Jacinthe Lafrance dans le bulletin En communion du diocèse de Nicolet. Elle mentionne notamment que «les questions concernant l’unité sont au cœur des préoccupations de nos milieux. On voit des situations où les gens se prennent en mains pour provoquer la rencontre et la discussion entre les intervenants de pastorale, de l’administration, des services d’entraide et des mouvements».
lundi 28 décembre 2015
Khaoua: travailleurs étrangers
Dans le plus récent numéro de Khaoua, publication du Service de préparation à la vie (SPV), Robert Perrault présente son engagement auprès des travailleurs agricoles étrangers qu'il côtoie. «Dans la région de Saint-Jude, il y a, depuis une bonne douzaine d'années, ces Guatémaltèques qui viennent travailler à la récolte des concombres à Saint-Jude même, et ceux qui viennent travailler dans une entreprise de récolte de fines herbes de Beloeil. En tout, ils sont près d'une centaine de travailleurs. En plus de devoir faire de longues journées au salaire minimum, ils doivent payer pension pour être logés dans des conditions minimales», explique-t-il.
dimanche 27 décembre 2015
Notre-Dame du Cap: dernier éditorial
«J’ai écrit il y a quelques mois deux ou trois textes qui décrivaient la situation de l’Église au Québec. J’ai reçu peu de temps après la publication de ces textes des courriers qui me signalaient que je manquais d’espérance», raconte Jérôme Martineau dans le tout dernier éditorial qu'il signe dans la revue Notre-Dame du Cap.
«Je n’ai jamais écrit que tout était perdu. Les propos que j’ai diffusés se veulent réalistes. Le réflexe commun partagé par beaucoup de personnes est de considérer en premier lieu les chiffres. Je suis très attentif aux chiffres. Ces derniers décrivent une réalité. Ils ne portent pas un jugement. Si la revue Notre-Dame du Cap perd 1500 abonnés par année, il va de soi qu’un bon jour elle ne pourra plus être diffusée. En écrivant cela, je ne manque pas d’espérance. Je manquerais d’espérance si j’écrivais que la Parole de Dieu n’a plus d’avenir dans notre monde. Je manquerais d’espérance si les statistiques de tout ordre étaient le fin mot sur la destinée de l’histoire du christianisme.»
À la fin de son texte, Jérôme Martineau ajoute: «Après 29 années passées à la revue, je passe le relais à une nouvelle personne responsable de la rédaction. J’occupe désormais le poste de responsable de la communauté de l’Arche à Trois-Rivières. Que l’aventure de la revue Notre-Dame du Cap se poursuive».
«Je n’ai jamais écrit que tout était perdu. Les propos que j’ai diffusés se veulent réalistes. Le réflexe commun partagé par beaucoup de personnes est de considérer en premier lieu les chiffres. Je suis très attentif aux chiffres. Ces derniers décrivent une réalité. Ils ne portent pas un jugement. Si la revue Notre-Dame du Cap perd 1500 abonnés par année, il va de soi qu’un bon jour elle ne pourra plus être diffusée. En écrivant cela, je ne manque pas d’espérance. Je manquerais d’espérance si j’écrivais que la Parole de Dieu n’a plus d’avenir dans notre monde. Je manquerais d’espérance si les statistiques de tout ordre étaient le fin mot sur la destinée de l’histoire du christianisme.»
À la fin de son texte, Jérôme Martineau ajoute: «Après 29 années passées à la revue, je passe le relais à une nouvelle personne responsable de la rédaction. J’occupe désormais le poste de responsable de la communauté de l’Arche à Trois-Rivières. Que l’aventure de la revue Notre-Dame du Cap se poursuive».
samedi 26 décembre 2015
Parabole: miséricorde
Le plus récent numéro de Parabole est consacré à la thématique de la miséricorde. «Cette année, dans l’Église, la miséricorde sera sur toutes les lèvres. Est-ce nouveau dans l’histoire judéo-chrétienne? Heureusement non», affirment Francine Vincent et Geneviève Boucher, membres du comité de rédaction de la revue. «Cette caractéristique centrale de Dieu se trouve à pleines pages dans les écrits des auteurs bibliques, notamment dans le Nouveau Testament où Jésus apparaît comme le sommet de la révélation de la miséricorde, vrai visage de Dieu. Sa vie, ses attitudes, son action, ses paroles ainsi que sa mort et sa résurrection n’ont qu’un seul but : rendre visible et tangible l’amour inépuisable et salvateur de Dieu à notre égard au creux même de nos limites, nos faiblesses et nos petitesses.»
vendredi 25 décembre 2015
Le gazouillis de Noël
Nous avons l'honneur de vous présenter Jésus : 3,8 kg, 51 cm, Fils de Dieu. La maman se porte bien et le papa est bien heureux !
— Vierge Marie (@VersNoel) 24 Décembre 2015
jeudi 24 décembre 2015
Missions étrangères: souper de Noël
«Revenu au Québec en 2008, après 38 ans au Japon et en Indonésie, j’avais le goût de m’impliquer auprès de personnes en situation d’itinérance. Pendant 10 ans, j’ai fait partie d’un groupe au Japon engagé dans la visite des sans-logis de la rue. Comme j’étais directement en contact avec eux, ça m’a rendu plus conscient de leur réalité. Vous savez, ces hommes sans-abri, j’avais et j’ai toujours le goût de les rencontrer, d’entendre leur histoire – quand ils arrivent à la raconter -, de les écouter et de tenter d’accueillir leurs misères», raconte Raymond Desrochers dans le numéro de décembre de Missions étrangères.
Il y a sept ans, le 24 décembre 2008, il a donné un peu de son temps à la Maison du Père, lors du traditionnel souper de Noël. «Je n’oublierai jamais cette première fois! Le soir du 24 décembre, nous étions une cinquantaine de bénévoles et tout le personnel régulier des cuisines. Durant la soirée, nous avons servi 350 personnes, assises aux tables bien décorées et abondamment garnies.» Depuis cette veille de Noël, chaque vendredi, Raymond Desrochers se rend à la Maison du père.
Il y a sept ans, le 24 décembre 2008, il a donné un peu de son temps à la Maison du Père, lors du traditionnel souper de Noël. «Je n’oublierai jamais cette première fois! Le soir du 24 décembre, nous étions une cinquantaine de bénévoles et tout le personnel régulier des cuisines. Durant la soirée, nous avons servi 350 personnes, assises aux tables bien décorées et abondamment garnies.» Depuis cette veille de Noël, chaque vendredi, Raymond Desrochers se rend à la Maison du père.
mercredi 23 décembre 2015
L'Église de Gaspé: vœux
«Chaque année, à l’arrivée du mois de décembre, le monde entier se prépare à célébrer Noël. Fête traditionnelle et commerciale, remplie de congés, de rencontres festives et de remises de cadeaux, pour les uns, fête de prières, d’intériorité et de lumière pour d’autres», écrit Mgr Jean Gagnon, dans ses vœux de Noël publiés dans le bulletin L'Église de Gaspé.
«En chacun et chacune de nous, selon la situation du moment, il pourra y avoir un peu plus de spirituel ou de commercial, de joie intérieure ou de fête extérieure, mais il y aura toujours un envers et un endroit. Reliquat folklorique ou découverte intérieure? Mais, une chose est sûre, nous serons tous atteints par l’atmosphère de Noël!»
«En chacun et chacune de nous, selon la situation du moment, il pourra y avoir un peu plus de spirituel ou de commercial, de joie intérieure ou de fête extérieure, mais il y aura toujours un envers et un endroit. Reliquat folklorique ou découverte intérieure? Mais, une chose est sûre, nous serons tous atteints par l’atmosphère de Noël!»
mardi 22 décembre 2015
L'infolettre: vœux
Membre de l'AMéCO, L'infolettre de l'Église catholique à Montréal a publié hier un numéro spécial qui comporte un message de l'archevêque de Montréal, Mgr Christian Lépine, et les vœux du Service des communications de l'archidiocèse. L'infolettre sera publiée de nouveau le mercredi 13 janvier 2016.
Terres d'espérance: avenir de la revue
«Nous vivons une période difficile pour les journaux et les revues papier. Et notre revue Terres d’espérance n’échappe pas à cette crise. Elle existe depuis 1969 et a besoin de renouveau pour survivre», écrit Roger Boulet en éditorial dans le plus récent numéro.
Le rédacteur explique l'histoire de cette revue: «La raison première de la revue permettait aux missionnaires de communiquer avec leurs parents et amis et s’appelait Brésil, Terre d’espérance. Plus tard, en 1985, avec la fondation de la mission au Zaïre (Congo), s’est ajoutée la revue Lumière au Zaïre. Et en 1997, ces deux revues ont fusionné sous le titre de Terres d’espérance».
«Depuis les débuts, 44 religieux canadiens se sont succédé dans nos missions. Il n’en reste maintenant que 3 au Brésil et 2 au Congo. Aussi, les moyens de communication ont évolué avec l’informatique de sorte qu’on réfléchit sérieusement à l’avenir de la revue. La revue est publiée quatre fois par année en plus d’être offerte sur le WEB. Et comme tous les périodiques, les coûts de production augmentent considérablement. La poste et l’impression aussi sont dispendieuses. Chaque édition de Terres d’espérance coûte quelques milliers de dollars.»
Quel avenir pour cette revue? «Une solution serait de diminuer la fréquence de nos numéros comme l’ont fait plusieurs autres revues du Québec. Nous attendons vos commentaires avant d’en arriver à une décision», écrit le père Boulet.
Le rédacteur explique l'histoire de cette revue: «La raison première de la revue permettait aux missionnaires de communiquer avec leurs parents et amis et s’appelait Brésil, Terre d’espérance. Plus tard, en 1985, avec la fondation de la mission au Zaïre (Congo), s’est ajoutée la revue Lumière au Zaïre. Et en 1997, ces deux revues ont fusionné sous le titre de Terres d’espérance».
«Depuis les débuts, 44 religieux canadiens se sont succédé dans nos missions. Il n’en reste maintenant que 3 au Brésil et 2 au Congo. Aussi, les moyens de communication ont évolué avec l’informatique de sorte qu’on réfléchit sérieusement à l’avenir de la revue. La revue est publiée quatre fois par année en plus d’être offerte sur le WEB. Et comme tous les périodiques, les coûts de production augmentent considérablement. La poste et l’impression aussi sont dispendieuses. Chaque édition de Terres d’espérance coûte quelques milliers de dollars.»
Quel avenir pour cette revue? «Une solution serait de diminuer la fréquence de nos numéros comme l’ont fait plusieurs autres revues du Québec. Nous attendons vos commentaires avant d’en arriver à une décision», écrit le père Boulet.
lundi 21 décembre 2015
L'agence de presse Misna ferme ses portes
Spécialisée en information sur les missions et les missionnaires, l'agence de presse Misna fermera ses portes à la fin de l'année. Les propriétaires de l'agence (Missionnaires comboniens, Missionnaires de la Consolata, Istitut Pontifical des Missions étrangères et, Missionnaires xavériens) ont annoncé cette nouvelle vendredi au syndicat de la rédaction. Dans une lettre remise au pape François et disponible dans le site de l'agence de presse, les journalistes de Misna déplorent que «les Instituts propriétaires de la Misna se disent fatigués, démotivés, accablés par les dépenses et sans énergie à tel point qu’ils considèrent inutile la survie de leur propre créature».
dimanche 20 décembre 2015
Vie liturgique: carême 2016
«Comme cela se produit tous les quatre ou cinq ans, le Carême commencera particulièrement tôt en 2016: le mercredi des Cendres sera en effet le 10 février. Cette situation incite Vie liturgique à devancer la parution de son dossier du Carême dans le numéro de janvier et février plutôt que dans celui de mars et avril. C’est pourquoi vous tenez en main une brochure particulièrement volumineuse qui compte un nombre inhabituellement grand de dimanches», écrit le rédacteur en chef Jean Grou.
«Le Carême, période associée à la pénitence, prendra une allure particulière cette année en raison du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde. S’il est une chose que je retiens en effet des propos du Pape dans sa bulle d’indiction Misericordiae Vultus, c’est que le Carême de cette année pourrait se vivre davantage sous le signe de l’accueil de la miséricorde divine, sans négliger la dimension de la pénitence, bien entendu.»
«Le Carême, période associée à la pénitence, prendra une allure particulière cette année en raison du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde. S’il est une chose que je retiens en effet des propos du Pape dans sa bulle d’indiction Misericordiae Vultus, c’est que le Carême de cette année pourrait se vivre davantage sous le signe de l’accueil de la miséricorde divine, sans négliger la dimension de la pénitence, bien entendu.»
samedi 19 décembre 2015
L'Église de Baie-Comeau: synodalité
«Depuis le début du pontificat du pape François, les catholiques sont entraînés dans un grand chambardement. Un vent de réformes souffle tous azimuts : retour à la simplicité évangélique et à l’esprit de pauvreté, décentralisation de la curie romaine et de la papauté, transparence des finances du Vatican, option préférentielle envers les pauvres, mise en valeur de la synodalité, c’est-à-dire marcher ensemble», écrit Jimmy Delalin dans le plus récent numéro de L'Église de Baie-Comeau.
«L’Église doit sortir de l’église», ajoute-t-il. «Pour opérer cet exode, l’exercice de la synodalité va devenir selon François le chemin que Dieu attend de l’Église au troisième millénaire».
«L’Église doit sortir de l’église», ajoute-t-il. «Pour opérer cet exode, l’exercice de la synodalité va devenir selon François le chemin que Dieu attend de l’Église au troisième millénaire».
vendredi 18 décembre 2015
Le gazouillis de la semaine
Chaque
vendredi, un tweet qui intéressera tout particulièrement les membres de
l'AMéCO par sa pertinence, son style, ses images et/ou son propos.
Les Canadiens sont généreux avec les organismes religieux
https://t.co/7hGWOm0HFV pic.twitter.com/ST16rpix79
— yves casgrain (@YvesCasgrain) 17 Décembre 2015
jeudi 17 décembre 2015
Franciscains: offre d'emploi
Les Franciscains recherchent une personne agente de communications, responsable de la rédaction de textes et de communiqués. La personne choisie pourra «effectuer des travaux reliés à la cueillette, la correction et la diffusion de l'information pour différents médias» et veillera à «entretenir, alimenter et mettre à jour les contenus informationnels dans les outils Web et médias sociaux» de la communauté. Il s'agit d'un poste permanent à temps partiel (14 heures).
Intercommunication: église cédée
«Le conseil de fabrique de la paroisse de Sainte-Euphémie vient de céder son église et la terre boisée qui l’accompagne à la municipalité. Il s’agit d’une transaction qui n’implique aucune somme de part et d’autre», indique le plus récent numéro d'Intercommunication, bulletin du diocèse de Sainte-Anne-de-laPocatière.
«Désacralisé, l’édifice portera dorénavant le nom de L’Héritage pour bien rappeler les efforts consentis par les anciens afin d’ériger et maintenir ce lieu. Par cette prise de possession, signalait le maire, M. Denis Giroux, la municipalité voulait s’assurer que l’édifice demeurerait le coeur du village. Bien que désacralisée, la salle L’Héritage continuera d’accueillir les paroissiens et paroissiennes de Sainte-Euphémie pour différentes célébrations religieuses.»
«Désacralisé, l’édifice portera dorénavant le nom de L’Héritage pour bien rappeler les efforts consentis par les anciens afin d’ériger et maintenir ce lieu. Par cette prise de possession, signalait le maire, M. Denis Giroux, la municipalité voulait s’assurer que l’édifice demeurerait le coeur du village. Bien que désacralisée, la salle L’Héritage continuera d’accueillir les paroissiens et paroissiennes de Sainte-Euphémie pour différentes célébrations religieuses.»
mercredi 16 décembre 2015
Bulletin du CRCJ: nouvelles chroniques
«À partir de ce numéro-ci, deux nouvelles chroniques s'ajoutent au contenu du Bulletin du CRCJ», annonce le plus récent numéro de la publication.
«Une concerne la Famille internationale de la Miséricorde (FIM) et l'autre aborde le sujet de la relation mère-enfant. Ainsi, avec ces deux chroniques, notre Bulletin devient plus complet, car il rend compte, maintenant, de l'ensemble de la vie du charisme de miséricorde de la FIM».
«Une concerne la Famille internationale de la Miséricorde (FIM) et l'autre aborde le sujet de la relation mère-enfant. Ainsi, avec ces deux chroniques, notre Bulletin devient plus complet, car il rend compte, maintenant, de l'ensemble de la vie du charisme de miséricorde de la FIM».
mardi 15 décembre 2015
Première rencontre du conseil d'administration
La première rencontre du nouveau conseil d'administration de l'AMéCO s'est tenue le vendredi 11 décembre à Trois-Rivières, dans les locaux de la revue Notre-Dame du Cap. Les sept dirigeants ont évalué le déroulement du congrès annuel d'octobre et la récente soirée de remise du prix Claude-Masson. Le conseil d'administration a confié la tâche de vice-président de l'association à Jean Grou et celle de secrétaire à Stéphane Gaudet. C'est Claire du Mesnil qui hérite du poste de trésorière.
Sur la photo (cliquer pour agrandir), on reconnaît, de gauche à droite, Nathalie Dumas, Jean Grou, Sophie Bouchard, Jacinthe Lafrance (présidente de l'AMéCO), Claire du Mesnil, Réjean Bernier et Stéphane Gaudet.
Sur la photo (cliquer pour agrandir), on reconnaît, de gauche à droite, Nathalie Dumas, Jean Grou, Sophie Bouchard, Jacinthe Lafrance (présidente de l'AMéCO), Claire du Mesnil, Réjean Bernier et Stéphane Gaudet.
Rencontre: résultats électoraux
Rédacteur en chef de la revue Notre-Dame-du-Cap et membre régulier de la table ronde de l'émission Foi et Turbulences (Radio VM), Stéphane Gaudet signe, dans le dernier numéro de Rencontre, une analyse des résultats électoraux du 19 octobre.
«Le PLC et le NPD ont réussi à faire de cette élection un référendum sur Stephen Harper. En polarisant ainsi le vote, un seul d’entre eux pouvait en sortir vainqueur. Ç’aurait pu être le NPD, ce fut le PLC. Le Bloc québécois, dont toute l’existence est basée sur la question nationale et constitutionnelle, ne pouvait que pâtir de cette élection « référendaire » où des souverainistes ont voté stratégiquement libéral afin de chasser Harper du pouvoir. Rarement la question nationale n’aura si peu pesé sur une élection. Il faut que les années Harper aient eu un fort effet repoussoir pour que des nationalistes québécois se réjouissent de l’élection d’un Trudeau à la tête du Canada», écrit-il.
«Le PLC et le NPD ont réussi à faire de cette élection un référendum sur Stephen Harper. En polarisant ainsi le vote, un seul d’entre eux pouvait en sortir vainqueur. Ç’aurait pu être le NPD, ce fut le PLC. Le Bloc québécois, dont toute l’existence est basée sur la question nationale et constitutionnelle, ne pouvait que pâtir de cette élection « référendaire » où des souverainistes ont voté stratégiquement libéral afin de chasser Harper du pouvoir. Rarement la question nationale n’aura si peu pesé sur une élection. Il faut que les années Harper aient eu un fort effet repoussoir pour que des nationalistes québécois se réjouissent de l’élection d’un Trudeau à la tête du Canada», écrit-il.
lundi 14 décembre 2015
Le Messager de Saint-Antoine: sans fil
«À la suite de l’installation d’équipement permettant de déployer le réseau, il sera désormais possible d’utiliser une connexion Internet sans fil dans la plupart des bâtiments de l’Ermitage Saint-Antoine», annonce-t-on dans le numéro de décembre du Messager de Saint-Antoine. «Ce service facilitera les communications pour notre clientèle désireuse de contacter leurs proches pendant leur séjour».
La revue indique aussi que durant le temps des Fêtes, les services d’hôtellerie de l'Ermitage sont ouverts du 23 au 29 décembre.
La revue indique aussi que durant le temps des Fêtes, les services d’hôtellerie de l'Ermitage sont ouverts du 23 au 29 décembre.
En Église: fin de convalescence
«Au moment où ma période de convalescence est sur le point de prendre fin, suite à mon opération subie en septembre dernier, je veux remercier notre communauté diocésaine pour son précieux soutien spirituel. Chers diocésains et diocésaines, j’étais conscient à chaque jour, que vous étiez là auprès de moi par votre prière fervente. Ce fut pour moi une force indéniable», écrit Mgr André Rivest, évêque de Chicoutimi, dans le plus récent numéro d'En Église. «Grâce à Dieu, et grâce à votre soutien, je reprendrai bientôt ma charge épiscopale. Ce sera une joie de me remettre activement à votre service.»
dimanche 13 décembre 2015
Vers demain: miséricorde
La revue Vers demain s'intéresse tout particulièrement au jubilé de la miséricorde. «C’est un sujet d’une si grande importance qu’il mérite un éditorial un peu plus long que d’habitude», écrit Alain Pilote, rédacteur de la publication. Reprenant des extraits de Misericordiae vultus, la bulle d’indiction de cette année sainte, il note «qu’une des œuvres de miséricorde spirituelle est d’instruire les ignorants. On fait donc œuvre de miséricorde spirituelle en lisant et en faisant lire Vers Demain, qui renseigne les gens sur la foi en Jésus, bien sûr, mais aussi sur leurs droits et devoirs et sur l’escroquerie du système financier actuel, tout en proposant une solution qui respecterait la personne humaine».
Bulletin de communication: mérite diocésain
Dans le Bulletin de communication de novembre (diocèse de Valleyfield), on mentionne les noms et accomplissements des personnes qui ont obtenu l'Ordre du mérite diocésain.
Aline Chèvrefils, de la paroisse Saint-Joachim de Châteauguay, a reçu cet honneur parce qu'elle «s'est beaucoup dévouée à la protection du patrimoine. Elle a su rallier des gens de son entourage à sa passion pour le bâtiment de l’église. Elle s’est intéressée à la voûte de l’église et à ses peintures, aux pierres, à la structure même de l’édifice dont il fallait financer la réparation. Elle a participé à l’élaboration de livres sur l’histoire de la paroisse Saint-Joachim. Ses recherches ont contribué à obtenir du gouvernement du Canada, en 2003, la reconnaissance de l’église comme «lieu désigné monument national».»
Aline Chèvrefils, de la paroisse Saint-Joachim de Châteauguay, a reçu cet honneur parce qu'elle «s'est beaucoup dévouée à la protection du patrimoine. Elle a su rallier des gens de son entourage à sa passion pour le bâtiment de l’église. Elle s’est intéressée à la voûte de l’église et à ses peintures, aux pierres, à la structure même de l’édifice dont il fallait financer la réparation. Elle a participé à l’élaboration de livres sur l’histoire de la paroisse Saint-Joachim. Ses recherches ont contribué à obtenir du gouvernement du Canada, en 2003, la reconnaissance de l’église comme «lieu désigné monument national».»
samedi 12 décembre 2015
Prier la Parole: désert
«Le désert, en particulier celui du cœur humain, est un lieu plus redoutable encore que l'hiver, avec sa froidure qui peut tout figer», écrit le frère André Barbeau dans la revue Prier la parole.
«C'est aussi un lieu d'enfantement, souvent douloureux, de l'être nouveau qui s'éveille peu à peu en nous, un être capable de s'ouvrir à la lumière et de déchiffrer la beauté de Dieu au-delà des apparences.»
«C'est aussi un lieu d'enfantement, souvent douloureux, de l'être nouveau qui s'éveille peu à peu en nous, un être capable de s'ouvrir à la lumière et de déchiffrer la beauté de Dieu au-delà des apparences.»
vendredi 11 décembre 2015
Le gazouillis de la semaine
Chaque
vendredi, un tweet qui intéressera tout particulièrement les membres de
l'AMéCO par sa pertinence, son style, ses images et/ou son propos.
L’hospitalité dans les grandes religions monothéistes
Avec Sébastien Doane de l'OCQ https://t.co/egKhT4JFFs pic.twitter.com/B3hP0EKiZn
— Office de catéchèse (@Catechese_OCQ) 10 Décembre 2015
jeudi 10 décembre 2015
Prêtre et pasteur: retraite
Le numéro de décembre de Prêtre et pasteur s'intéresse à la retraite.
«Dans le monde religieux, on entend souvent dire qu'il n'y a pas d'âge pour prendre sa retraite. Pour les cardinaux, les évêques et les curés, le Droit canon fixe cependant à 75 ans l'âge où ils doivent remettre au pape ou à leur évêque une lettre de renonciation à leur charge. Cette renonciation peut être ou ne pas être acceptée», écrit Jean-Yves Garneau, directeur de la revue.
«Dans le monde religieux, on entend souvent dire qu'il n'y a pas d'âge pour prendre sa retraite. Pour les cardinaux, les évêques et les curés, le Droit canon fixe cependant à 75 ans l'âge où ils doivent remettre au pape ou à leur évêque une lettre de renonciation à leur charge. Cette renonciation peut être ou ne pas être acceptée», écrit Jean-Yves Garneau, directeur de la revue.
mercredi 9 décembre 2015
Signes: transmettre
«Nos parents nous ont beaucoup aidés à vivre notre vie de famille», écrivent Mariette et Pierre Charette dans le premier numéro de 2016 de Signes.
«Ils ont d'abord donné le témoignage d'une vie chrétienne bien assumée dans une fidélité conjugale qui a traversé l'épreuve des ans. Nos parents à tous les deux ont été choisis pour devenir les parrain et marraine de nos deux aînés. Ce qui nous a motivés? Nous en avions la certitude, personne n'était plus apte qu'eux à transmettre avec nous la foi à nos enfants.»
«Ils ont d'abord donné le témoignage d'une vie chrétienne bien assumée dans une fidélité conjugale qui a traversé l'épreuve des ans. Nos parents à tous les deux ont été choisis pour devenir les parrain et marraine de nos deux aînés. Ce qui nous a motivés? Nous en avions la certitude, personne n'était plus apte qu'eux à transmettre avec nous la foi à nos enfants.»
mardi 8 décembre 2015
En chantier: pallium
Le bulletin En chantier rappelle qu'autrefois, le pape invitait à Rome ceux qu'il avait nommé au titre d'archevêques. Il leur remettait alors le pallium. «Mais aujourd'hui, ce n'est plus pareil. Les nouveaux archevêques n'ont plus à se rendre à Rome. C'est le pape qui, pour ainsi dire, s'invite chez eux. Et c'est là que celui qui le représente dans leur pays, le nonce les y rejoint pour leur remettre publiquement cet insigne distinctif», écrit René DesRosiers, directeur du bulletin diocésain, dans le reportage qu'il signe sur la remise du pallium à Mgr Denis Grondin, nouvel archevêque de Rimouski.
En son nom: concile
«Le 7 décembre 1965, lors du discours de clôture du Concile Vatican II, Paul VI résumait ainsi les travaux du Concile: L’Église se penche sur l’homme et sur la terre, mais c’est vers le royaume de Dieu que son élan la porte. Nous voici donc 50 ans plus tard, et ce programme continue», écrit Pierre Cardinal dans le plus récent numéro d'En son nom. Il lance cette question: «Qu’en est-il de cet élan, s’agissant de la vie consacrée ?»
Parmi les textes de ce dossier, mentionnons celui du dominicain Rick van Lier qui «présente une synthèse du colloque qui se tenait à Rome à pareille date l’an dernier, portant sur le sujet. Il est suivi d’Élisabeth Lacelle, théologienne, qui situe l’apparition de l’expression signes des temps dans le vocabulaire conciliaire, une formule qui illustre bien cette volonté d’accompagner l’être humain dans son histoire», écrit le directeur de la revue.
Parmi les textes de ce dossier, mentionnons celui du dominicain Rick van Lier qui «présente une synthèse du colloque qui se tenait à Rome à pareille date l’an dernier, portant sur le sujet. Il est suivi d’Élisabeth Lacelle, théologienne, qui situe l’apparition de l’expression signes des temps dans le vocabulaire conciliaire, une formule qui illustre bien cette volonté d’accompagner l’être humain dans son histoire», écrit le directeur de la revue.
lundi 7 décembre 2015
Carrefour salésien: jeux vidéo
Que faire quand son enfant est accro aux jeux vidéo? Carrefour salésien a publié une réponse à cette question dans son numéro de septembre. Selon la psychologue et psychanalyste Julie Saint Bris, «passer plusieurs heures par jour à jouer sur un ordinateur ou une console n’est pas en soi dramatique. Cela devient inquiétant si l’on constate que le jeune se coupe progressivement de la réalité, de ses amis, de ses activités. Il peut s’agir alors d’un autre problème, plus vaste, dont l’addiction aux jeux vidéo n’est que la partie visible de l’iceberg, celui des troubles liés à l’adolescence. Et là, il faut essayer d’entamer un dialogue avec l’aide de quelqu’un d’extérieur, si c’est possible.»
En communion: Jésus et Aylan
«Y a-t-il une relation entre l’enfant syrien, Aylan Kurdi, échoué sur une plage de Turquie, au matin du 2 septembre dernier, et l’enfant juif de Palestine, Jésus, emmailloté et couché dans une mangeoire, il y a plus de 2000 ans à Bethléem?», demande l'abbé Gérard Marier, dans le numéro de novembre d'En communion (diocèse de Nicolet).
«La mort de l’un et la naissance de l’autre, dans des conditions extrêmes, ont suscité beaucoup d’émotions dans le monde entier, le premier ayant été rejeté par la mer et le deuxième par l’hôtellerie et les habitants de Bethléem. L’un et l’autre sont sans patrie, leurs parents sont en chemin. Ce sont des familles migrantes», écrit-il.
«La mort de l’un et la naissance de l’autre, dans des conditions extrêmes, ont suscité beaucoup d’émotions dans le monde entier, le premier ayant été rejeté par la mer et le deuxième par l’hôtellerie et les habitants de Bethléem. L’un et l’autre sont sans patrie, leurs parents sont en chemin. Ce sont des familles migrantes», écrit-il.
dimanche 6 décembre 2015
Pèlerins en marche: médias et visibilité
Le plus récent numéro de Pèlerins en marche, revue du Mouvement des Cursillos francophones du Canada, rappelle qu'il y a 50 ans, le premier cursillo francophone se tenait à Sherbrooke. L'anniversaire a été célébré en juin dernier. L'animateur spirituel du mouvement, l'abbé Gilles Baril, raconte notamment que «le mouvement a mis en œuvre en 1987 la revue De Colores qui deviendra, en 2003, Pèlerins en marche. Puis mai 1998 voit naître un site Internet parmi les plus visités parmi les sites religieux. Une page Facebook existe aussi depuis 2013». Il explique aussi que les responsables de la revue, du site Internet et de la page Facebook sont tous de l'archidiocèse de Sherbrooke.
Prions en Église: Laudato si’
«On ne peut entrer en décembre de cette année sans revenir à Laudato si’», écrit Jacques Lison dans le numéro de décembre de Prions en Église. «Non seulement parce que cette encyclique récente du pape François donne un formidable coup de pouce à la conférence de Paris sur les changements climatiques, qui a lieu durant la première quinzaine de ce mois, mais aussi parce qu’elle est «à la fois joyeuse et dramatique comme l’Avent.»
Il ajoute que «Laudato si’ nous demande gentiment mais fermement d’oser voir les choses tout autrement, de tourner le dos à la consommation sans vergogne, d’adapter notre style de vie au rythme lent de «sœur notre mère la terre, qui nous soutient et nous gouverne, et produit divers fruits avec les fleurs colorées et l’herbe».
Il ajoute que «Laudato si’ nous demande gentiment mais fermement d’oser voir les choses tout autrement, de tourner le dos à la consommation sans vergogne, d’adapter notre style de vie au rythme lent de «sœur notre mère la terre, qui nous soutient et nous gouverne, et produit divers fruits avec les fleurs colorées et l’herbe».
samedi 5 décembre 2015
Journées François de Sales 2016
Les 20e Journées François de Sales se dérouleront les 21 et 22 janvier 2016, à Annecy, en France. «Les religions enrichissent-elles nos identités culturelles?», se demandera-t-on.
«De Charlie Hebdo au Bataclan en passant par la Syrie ou le Nigeria, l’actualité de 2015 nous bouscule fortement, nous ébranle et nous provoque. Les événements dramatiques qui bouleversent et endeuillent le quotidien se parent souvent de références religieuses», écrivent les organisateurs.
«Sociologues, experts, intellectuels peuvent nous aider à penser notre métier dans cette société chahutée. Prendre à bras-le-corps le thème des 20e Journées François de Sales passe par une relecture fine de nos pratiques journalistiques qui doivent accompagner l’émotion, inciter à la réflexion, conduire à la compréhension du monde d’aujourd’hui.» Le programme de cette rencontre est en ligne.
Les Journées François de Sales sont organisées par la Fédération des médias catholiques.
«De Charlie Hebdo au Bataclan en passant par la Syrie ou le Nigeria, l’actualité de 2015 nous bouscule fortement, nous ébranle et nous provoque. Les événements dramatiques qui bouleversent et endeuillent le quotidien se parent souvent de références religieuses», écrivent les organisateurs.
«Sociologues, experts, intellectuels peuvent nous aider à penser notre métier dans cette société chahutée. Prendre à bras-le-corps le thème des 20e Journées François de Sales passe par une relecture fine de nos pratiques journalistiques qui doivent accompagner l’émotion, inciter à la réflexion, conduire à la compréhension du monde d’aujourd’hui.» Le programme de cette rencontre est en ligne.
Les Journées François de Sales sont organisées par la Fédération des médias catholiques.
L'Envoi: missions paroissiales
Dans le plus récent numéro de L'Envoi (diocèse de Saint-Hyacinthe), Frédéric Barriault propose un texte à saveur historique sur les missions paroissiales, ces retraites auxquelles on conviait tous les paroissiens. «Au Québec, c’est au lendemain des Rébellions de 1837-38 qu’on commencera véritablement à prêcher des missions paroissiales. Le jeune évêque de Montréal, Mgr Ignace Bourget, invite alors au pays un prédicateur redoutablement talentueux: Mgr Charles de Forbin-Janson. Entre décembre 1840 et janvier 1841, cet évêque français prêche sans relâche partout au Canada, de Pictou en Nouvelle-Écosse jusqu’à Bytown (Ottawa), en Ontario. Au cours de cette année très mouvementée, Mgr de Forbin-Janson a prêché des missions dans une soixantaine de paroisses. Près de la moitié des catholiques canadiens ont entendu ses sermons.»
vendredi 4 décembre 2015
Le gazouillis de la semaine
Chaque
vendredi, un tweet qui intéressera tout particulièrement les membres de
l'AMéCO par sa pertinence, son style, ses images et/ou son propos.
L'ode à la Création à découvrir le 3 à la célébration œcuménique #Cop21 @notredame2paris https://t.co/zRp5CnGaFh pic.twitter.com/ORBcnfrHTS
— Cop21Eglise (@Cop21Eglise) 2 Décembre 2015
jeudi 3 décembre 2015
Prix Claude-Masson
Remise du prix Claude-Masson à Benoit Lacroix et @cherejoblo vue par le photojournaliste Jacques Nadeau. https://t.co/x2kI6piUqU
— Comm. et Société (@Comm_Societe) 2 Décembre 2015
Le Brigand: réfugiés
Nazir Rezek travaille maintenant à temps plein au bureau des Missions jésuites. Son but: «permettre à d'autres personnes qui ont dû quitter leur pays d'origine, en raison de la famine, de la guerre, de la torture, de la persécution et, pour certains, à cause de leurs engagements pour la justice et la paix, de réaliser ce qu'elles veulent devenir».
mercredi 2 décembre 2015
Relations: choc des civilisations
«Ce dossier, imprimé avant les attentats du 13 novembre 2015 à Paris, offre des clés pour penser ces événements tragiques et les questions de fond qu'ils soulèvent», préviennent les responsable de la revue Relations. «Un funeste hasard fait que c’est la veille des attentats qui ont à nouveau ébranlé Paris, le 13 novembre dernier, que ce nouveau numéro de Relations est sorti des presses, comme pour nous rappeler la prégnance de l’appel à la vigilance et à la paix qu’il porte.»
«Nos pensées sont bien sûr avec toutes les victimes innocentes de ces attentats abjects. Mais elles sont aussi avec toutes celles que fait la guerre au terrorisme apparemment sans fin qui ne manquera pas d’être relancée», estime la revue.
Le dossier analyse cette «logique du choc des civilisations qu’imposent implacablement au monde les élites depuis le 11 septembre 2001». Une analyse qui demeure, «malheureusement, plus que jamais pertinente».
«Nos pensées sont bien sûr avec toutes les victimes innocentes de ces attentats abjects. Mais elles sont aussi avec toutes celles que fait la guerre au terrorisme apparemment sans fin qui ne manquera pas d’être relancée», estime la revue.
Le dossier analyse cette «logique du choc des civilisations qu’imposent implacablement au monde les élites depuis le 11 septembre 2001». Une analyse qui demeure, «malheureusement, plus que jamais pertinente».
mardi 1 décembre 2015
Aujourd'hui Credo: dernier éditorial
«Après quatre ans de pur plaisir – que le temps passe vite quand on adore ce qu’on fait ! –, ceci est le dernier texte que j’écris comme rédacteur en chef d’Aujourd’hui Credo», annonce Stéphane Gaudet dans le plus récent numéro de la revue.
«S’il est une chose dont je suis fier, c’est que la revue soit demeurée (car elle l’était déjà avant) un lieu de rencontre plutôt unique où ont pu converger et dialoguer des chrétiens d’appartenances confessionnelles variées, dans les articles comme dans le courrier des lecteurs», avance-t-il. «Cette belle diversité existe aussi du côté des lecteurs (dont la plupart, rappelons-le, ne sont pas membres de l’Église Unie), qui apprécient le contenu de ce magazine et s’en disent nourris au plan spirituel, intellectuel ou éthique.»
«S’il est une chose dont je suis fier, c’est que la revue soit demeurée (car elle l’était déjà avant) un lieu de rencontre plutôt unique où ont pu converger et dialoguer des chrétiens d’appartenances confessionnelles variées, dans les articles comme dans le courrier des lecteurs», avance-t-il. «Cette belle diversité existe aussi du côté des lecteurs (dont la plupart, rappelons-le, ne sont pas membres de l’Église Unie), qui apprécient le contenu de ce magazine et s’en disent nourris au plan spirituel, intellectuel ou éthique.»
Pastorale-Québec: cimetière juif
Témoins silencieux de la foi des gens, les cimetières abritent des signes caractéristiques de la religion pratiquée par leurs fidèles», écrit Pascal Huot, ethnologue, dans le numéro de novembre de Pastorale-Québec. L'auteur présente le cimetière juif de l'arrondissement de Sainte-Foy-Sillery, «le plus vieux cimetière juif au Canada encore en fonction».
«Sur plusieurs pierres tombales, il est possible de voir d'autres symboles religieux reliés au judaïsme», explique-t-il. C'est la congrégation Beth Israel Ohev Sholom qui gère ce cimetière.
«Sur plusieurs pierres tombales, il est possible de voir d'autres symboles religieux reliés au judaïsme», explique-t-il. C'est la congrégation Beth Israel Ohev Sholom qui gère ce cimetière.
lundi 30 novembre 2015
Nouvelle revue franciscaine: engagements communautaires
«Cette vive complicité entre capucins et mouvements communautaires aura duré une trentaine d’années au cours desquelles plusieurs congrégations de femmes et d’hommes ont vécu la même expérience. On ne peut certainement pas dire qu’il n’en reste rien. Mais le nombre de religieux impliqués a diminué radicalement. Ceux des débuts ont vieilli, plusieurs sont décédés, et il n’y a pas eu de relève», expliquent les capucins Jacques Bélanger et Aubert Bertrand dans le dernier numéro de la Nouvelle revue franciscaine.
Les auteurs «retracent les étapes de la conversion sociale des communautés religieuses, à la suite de l'interpellation du Concile Vatican II».
Les auteurs «retracent les étapes de la conversion sociale des communautés religieuses, à la suite de l'interpellation du Concile Vatican II».
dimanche 29 novembre 2015
Sentiersdefoi.info: communautés autochtones
«Pourquoi, chaque fois que des histoires sordides sur la situation des communautés autochtones ressortent dans les médias, nous butons-nous sur notre incapacité à les regarder en vérité, à nous indigner et, surtout, à nous engager auprès d’elles pour enfin laisser surgir en leur faveur notre compassion et notre sens de la justice?», demande Jocelyn Girard dans le plus récent numéro de Sentiersdefoi.info.
«Visiblement, après 450 ans de colonialisme et de paternalisme, nous ne sommes toujours pas prêts à nous laisser bousculer. L’existence même des réserves indiennes ne remet-elle pas en question notre présence sur ce territoire, la manière dont nous avons agi avec ces populations indigènes en les privant de leur dignité, de leurs cultures, de leur spiritualité, bref, de tout ce qui constituait leur identité, pour en faire les habitants d’un apartheid bien de chez nous?»
«Visiblement, après 450 ans de colonialisme et de paternalisme, nous ne sommes toujours pas prêts à nous laisser bousculer. L’existence même des réserves indiennes ne remet-elle pas en question notre présence sur ce territoire, la manière dont nous avons agi avec ces populations indigènes en les privant de leur dignité, de leurs cultures, de leur spiritualité, bref, de tout ce qui constituait leur identité, pour en faire les habitants d’un apartheid bien de chez nous?»
samedi 28 novembre 2015
RST Religion: pétition en ligne
Plus de 6400 persones ont signé la pétition en ligne demandant que la Radio Télévision Suisse (RTS) ne supprime pas, en 2017, les émissions À vue d’esprit (Espace 2), Faut pas croire (RTS Un) et Hautes fréquences (La 1ère).
«À l’heure où les fanatismes sèment la peur, la violence et la haine, la mise à disposition d’une information nuancée et crédible sur le religieux doit être une priorité absolue. La suppression de ces trois magazines grand public - destinés à des personnes attachées ou non à une communauté religieuse - constitue un appauvrissement massif de l’offre programmatique dans ce domaine», estiment les signataires.
«À l’heure où les fanatismes sèment la peur, la violence et la haine, la mise à disposition d’une information nuancée et crédible sur le religieux doit être une priorité absolue. La suppression de ces trois magazines grand public - destinés à des personnes attachées ou non à une communauté religieuse - constitue un appauvrissement massif de l’offre programmatique dans ce domaine», estiment les signataires.
vendredi 27 novembre 2015
Le gazouillis de la semaine
Chaque
vendredi, un tweet qui intéressera tout particulièrement les membres de
l'AMéCO par sa pertinence, son style, ses images et/ou son propos.
“J’espère, confie @Pontifex, que la @COP21 débouchera sur la conclusion d’un accord global et ‘transformateur'“ pic.twitter.com/sRi00wOoRN
— I.MEDIA ن (@AgenceIMEDIA) 26 Novembre 2015
jeudi 26 novembre 2015
Prions en Église s'annonce sur Facebook
Prions en Église, une publication membre de l'AMéCO, achète de la publicité sur Facebook afin de trouver de nouveaux abonnés.
Offrez un abonnement à Prions en Église et recevez en prime un ornement de Noël en bois d'olivier de Bethléem!
Posté par Prions en Église Canada sur jeudi 19 novembre 2015
L'Ami du frère André: plans et devis
«L’Oratoire a procédé en septembre dernier à un appel d’offres public de services professionnels, par l’intermédiaire du Système électronique d’appel d’offres (SEAO) du gouvernement du Québec», annonce le plus récent numéro de L'Ami du frère André. Il s'agit d'une nouvelle étape dans son ambitieux programme de réaménagement.
«Une équipe multidisciplinaire sera mandatée sous peu pour réaliser les plans et devis des prochaines phases du projet. L’équipe de l’Oratoire Saint-Joseph, quant à elle, sera à pied d’œuvre pour la planification des travaux. Sa priorité sera de définir les stratégies d’intervention afin d’harmoniser les exigences de travaux d’envergure avec le maintien de conditions favorables à la réalisation des activités quotidiennes du sanctuaire, dans le respect de sa mission d’accueil.»
«Une équipe multidisciplinaire sera mandatée sous peu pour réaliser les plans et devis des prochaines phases du projet. L’équipe de l’Oratoire Saint-Joseph, quant à elle, sera à pied d’œuvre pour la planification des travaux. Sa priorité sera de définir les stratégies d’intervention afin d’harmoniser les exigences de travaux d’envergure avec le maintien de conditions favorables à la réalisation des activités quotidiennes du sanctuaire, dans le respect de sa mission d’accueil.»
mercredi 25 novembre 2015
Bulletin CRC: consommation
«Quelle que soit la règle de notre institut et ses formulations précises, en vie religieuse, nous sommes tous conviés, de par notre vœu de pauvreté, à adopter un mode de vie sobre et à choisir de nous restreindre en matière de consommation», écrit Michel Proulx, dans le plus récent numéro du Bulletin CRC. Ce numéro est consacré à l'encyclique Laudato si'.
«Notre vœu de pauvreté nous appelle à mettre en commun nos avoirs et nos revenus. Normalement, la pratique de ce vœu devrait nous tourner vers les autres; elle devrait nous décentrer de nous-mêmes et nous porter à chercher le bien commun. Et parce que nous partageons entre nous les objets d’utilité courante, nous n’avons pas besoin d’acheter à plusieurs exemplaires ce qui peut être prêté. Nous diminuons ainsi notre consommation». ajoute le prieur des Prémontrés de Saint-Constant et ex-président de la Conférence religieuse canadienne.
«Notre vœu de pauvreté nous appelle à mettre en commun nos avoirs et nos revenus. Normalement, la pratique de ce vœu devrait nous tourner vers les autres; elle devrait nous décentrer de nous-mêmes et nous porter à chercher le bien commun. Et parce que nous partageons entre nous les objets d’utilité courante, nous n’avons pas besoin d’acheter à plusieurs exemplaires ce qui peut être prêté. Nous diminuons ainsi notre consommation». ajoute le prieur des Prémontrés de Saint-Constant et ex-président de la Conférence religieuse canadienne.
mardi 24 novembre 2015
Tutoriels sur les pages Facebook
Le Centre PRI annonce la parution de capsules vidéos sur la création et l'administration d'une page Facebook par les communautés et les paroisses. Ces tutoriels sont animés par François Gloutnay, auteur du guide Mon Église sur Facebook (Novalis). La Fondation du Grand Séminaire de Montréal a produit ces capsules.
Le Centre PRI offre aux communautés et organismes d'acheter ensemble le guide et le DVD contenant les tutoriels (20 $, frais de livraison inclus).
Le Centre PRI offre aux communautés et organismes d'acheter ensemble le guide et le DVD contenant les tutoriels (20 $, frais de livraison inclus).
Le Verbe: avec les itinérants
Dans Le Verbe, le journaliste Yves Casgrain présente Claude Paradis, «prêtre et toxicomane», un «dealer d'espérance» qui travaille auprès des itinérants. «Je n’ai pas honte de m’assoir avec les itinérants. Je fais partie de la même gang! Vous savez, même s’il m’en coute de dire cela, il y a souvent bien plus de partage dans la rue que dans les paroisses. Ils ne possèdent presque rien et ils le partagent. Plusieurs ont un chien. Lorsqu’ils reçoivent de la nourriture, ils la partagent avec lui. Vous savez, ils me disent souvent que leur chien est bien plus accueillant que leurs propres parents.»
lundi 23 novembre 2015
Agent de communications recherché
La Société des Missions Étrangères, éditrice de la revue Mission Étrangères, est à la recherche d'une personne agente de communications (cliquer pour obtenir l'offre - format Doc) qui sera responsable d'animer le site web de la société missionnaire, d'assurer sa présence dans les médias sociaux et de gérer ses campagnes promotionnelles. Les personnes intéressées ont jusqu'au 11 décembre pour acheminer leur curriculum vitae.
Missions des franciscains: Gospel
Dans le plus récent numéro de Missions des franciscains, Richard Chartier, rédacteur en chef, a interviewé Guylain Prince, ce franciscain qui dirige deux chorales Gospel et qui a créé la Maison InterCD qui veut «soutenir les artistes qui performent dans la musique chrétienne».
Il raconte ce souvenir: «à 14 ans, j’ai assisté avec ma mère à un spectacle de John Littleton qui m’a profondément marqué. À l’école, depuis ma tendre enfance, on utilisait ses chants pour enseigner la catéchèse. Je me reconnecte alors avec le Gospel qui fait partie de mes racines, de mon histoire.»
Il raconte ce souvenir: «à 14 ans, j’ai assisté avec ma mère à un spectacle de John Littleton qui m’a profondément marqué. À l’école, depuis ma tendre enfance, on utilisait ses chants pour enseigner la catéchèse. Je me reconnecte alors avec le Gospel qui fait partie de mes racines, de mon histoire.»
S'abonner à :
Messages (Atom)