La Commission pour la communication et les médias de la Conférence des évêques suisses organise, à l'occasion de la Journée mondiale des communications sociales, un Dimanche des médias. Le thème de cette année: Plus de good news. Est-ce là un slogan destiné à retoucher l'image de l'Église dans un contexte passablement troublé et difficile? Faux, rétorque-t-on. «Cette campagne du Dimanche des médias ne veut pas faire la leçon aux médias. Elle s’adresse aux croyants pour qu’ils discernent au-delà des médias les signes d’espérance», indique André Kolly, président de la commission. Dans les paroisses, une collecte est aussi prévue afin de soutenir la presse religieuse. «L’Église a besoin de ses propres médias et se doit de les soutenir. Cela n’est évidemment pas gratuit.»
samedi 15 mai 2010
Plus de good news
La Commission pour la communication et les médias de la Conférence des évêques suisses organise, à l'occasion de la Journée mondiale des communications sociales, un Dimanche des médias. Le thème de cette année: Plus de good news. Est-ce là un slogan destiné à retoucher l'image de l'Église dans un contexte passablement troublé et difficile? Faux, rétorque-t-on. «Cette campagne du Dimanche des médias ne veut pas faire la leçon aux médias. Elle s’adresse aux croyants pour qu’ils discernent au-delà des médias les signes d’espérance», indique André Kolly, président de la commission. Dans les paroisses, une collecte est aussi prévue afin de soutenir la presse religieuse. «L’Église a besoin de ses propres médias et se doit de les soutenir. Cela n’est évidemment pas gratuit.»
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Merci d'avoir donné écho à notre campagne pour le 44e dimanche des médias. En fait, c'est la 1ère fois que les médias s'y sont intéressés, y compris à Radio Vatican. Sans doute, l'anglais utilisé comme slogan national (dans les 3 langues du pays) a provoqué des irritations. A se demander si une autre année il faudra utiliser une devise latine comme on le voit sur les blasons des évêques. Le fait est que si le doigt montre la lune, il ne faut pas voir que le doigt : ce qui compte c'est notre attention à discerner de bonnes nouvelles en ce monde. Et on peut s'y aider mutuellement à l'occasion d'un dimanche des médias qui habituellement laisse un encéphalographe plat chez beaucoup. André Kolly
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