Gilles Routhier estime que le décret Inter Mirifica (sur les moyens de communication sociale) promulgué durant le concile, n'est pas le texte le plus approfondi de Vatican II. D'autres documents du concile ont aussi réfléchi sur les médias et sont certainement plus achevés.«Le débat sur Inter Mirifica n'a duré que 31 heures. Et c'est un des documents conciliaires qui a connu le plus d'opposition», dit le professeur lors de la conférence publique qui précède le congrès annuel de l'ACPC.
Le nouveau doyen de la faculté de théologie et de sciences religieuses de l'Université Laval croit que le concile même, l'événement, a permis à l'Église de «faire l'expérience d'une communication presque en direct avec les fidèles». Elle a dû apprendre qu'elle ne pouvait «plus contrôler la communication, et que les médias devenaient des médiateurs entre les fidèles et l'Église».
Quarante-cinq personnes étaient présentes.
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