Dans la Revue missionnaire Mariannhill, Jean-Marc Grégoire, cmm, a interrogé trois jeunes adolescents qui ont suivi leurs parents durant un stage missionnaire d'un an au Pérou. Ils discutent du choc du retour. «Quitter un mode de vie qui était devenu le mien, un mode de vie que je peux qualifier de relax, alors qu’ici on court après le temps, c’était pour moi quelque chose de difficile. Quitter mes après-midis dans les champs, avec les chèvres, quitter tous mes amis, ce n’était pas évident. Les 1200 personnes du village étaient devenues ma famille. Quand mes parents allaient, durant le jour, à Chiclayo, pour faire leurs emplettes, moi, j’avais plein de maisons où aller. Je dinais chez un ami, je soupais chez un autre. Donc, à 11 ans, j’étais devenu un péruvien pure laine», raconte Simon Desrosiers, un des adolescents.
Aussi, dans ce numéro, sous le billet du rédacteur Gilles Jalbert, cmm, on trouve la note suivante. «Nous employons partout la forme masculine sans préjudice afin d’alléger la lecture. Nous essayons aussi le plus possible de référer au Grand vadémécum de l’orthographe moderne recommandée: cinq millepattes sur un nénufar pour l’écriture de nos textes.»
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