«J’étais un enfant religieux et curieux : à quinze ans, j’avais lu Le libérateur
de Pierre Thivollier. La page couverture montrait Jésus en colère, muni
d’un fouet, chassant les vendeurs du temple. J’y découvrais un Jésus au
service des pauvres, des masses indigentes abandonnées, des exclus,
alors qu’au collège on n’évoquait jamais cette dimension sociale du
message chrétien. Pourquoi passait-on sous silence l’option de Jésus
pour les pauvres? Au collège, on ne nous parlait que d’abstinence
sexuelle et de péchés mortels, alors que les évangiles n’abordent même
pas ces choses.»
Claude Lacaille, p.m.é., répond aux questions de Gérard Laverdure dans le plus récent numéro du webzine Sentiersdefoi.info.
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