«Cette vive complicité entre capucins et mouvements communautaires aura duré une trentaine d’années au cours desquelles plusieurs congrégations de femmes et d’hommes ont vécu la même expérience. On ne peut certainement pas dire qu’il n’en reste rien. Mais le nombre de religieux impliqués a diminué radicalement. Ceux des débuts ont vieilli, plusieurs sont décédés, et il n’y a pas eu de relève», expliquent les capucins Jacques Bélanger et Aubert Bertrand dans le dernier numéro de la Nouvelle revue franciscaine.
Les auteurs «retracent les étapes de la conversion sociale des communautés religieuses, à la suite de l'interpellation du Concile Vatican II».
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