«Dans les mois précédant la publication du premier Verbe, une importante phase de « recrutement » s’est déroulée en catimini», raconte Antoine Malenfant, rédacteur en chef du magazine Le Verbe. «Pendant des semaines, voire des mois, nous avons débusqué de (plus ou moins) jeunes créateurs parmi nos amis, les amis de nos amis, et même plus loin encore! Résultat? Plus d’une cinquantaine de collaborateurs gravitent autour de la revue : illustratrices, journalistes, auteurs, blogueurs, bédéistes et photographes mettent la main à la pâte du Verbe de manière régulière.»
Au terme d'une année de publication, il propose un bilan. «Nous avons le foisonnement des idées et un désir profond de réaliser la mission qui nous est confiée. D’un autre côté, la principale question concernant notre avenir pourrait se formuler comme suit: comment assurer la pérennité du Verbe dans un contexte de précarité généralisée dans les médias écrits ? Si le nombre de nouveaux abonnés est en hausse lente mais constante, les recettes demeurent insuffisantes. La solution? Élargir notre offre médiatique, c’est-à-dire aller encore plus loin pour atteindre les objectifs de notre mission. Soyez patients. Nous vous donnerons plus de détails dans les prochains mois… Promis!»
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