«Dans la désolation et parmi les décombres, la maison salésienne ouvre tous les jours ses portes pour accueillir des centaines de bambins, d’enfants et de jeunes parce que nous voulons à tout prix qu’à côté de la mort que l’on voit partout, la vie continue.» Ces mots du salésien Munir El Raì, natif d'Alep, provincial du Moyen-Orient, sont reproduits dans le plus récent numéro de Carrefour salésien.
«Je suis ému de voir plus de mille cinq cents enfants et jeunes, le double d’avant, qui veulent venir dans la maison de Don Bosco pour rencontrer d’autres jeunes, pour vivre, pour prier et pour jouer.»
Il ajoute que «tous mes frères salésiens ont préféré rester avec leur peuple. Ils avaient le droit de partir, et ils pouvaient le faire tranquillement, mais personne n’a abandonné son poste et tous partagent le même sort».
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