Lorsque cette religieuse est décédée, le 13 mars 1937, à l'âge de 75 ans, «les drapeaux ont été mis en berne à l'Université de Montréal, à la Commission des écoles catholiques de Montréal dont elle a été la première femme à être membre, et à des centaines de maisons d'éducation. Elle a eu droit à des funérailles nationales à la basilique Notre-Dame de Montréal. Les plus grands journalistes de l'époque, d'Omer Héroux, du quotidien Le Devoir, à Louis Francoeur, animateur vedette de la radio et directeur de La Patrie, lui ont consacré des articles élogieux.»
Le journaliste et auteur Claude Gravel publie dans le dernier numéro d'En son Nom, un portrait de Mère Sainte-Anne Marie, de la Congrégation de Notre-Dame. «Peu connue aujourd'hui du grand public, elle a exercé une influence énorme sur l'enseignement au Québec durant un demi-siècle, avant de s'éteindre, couverte de médailles et de gloire». Claude Gravel a publié récemment La Féministe en robe noire - Mère Sainte-Anne-Marie aux éditions Libre expression.
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