jeudi 5 septembre 2013

Relations: analphabétisme

«Ne savoir ni lire ni écrire dans une société où le texte est omniprésent - surtout avec l’explosion de l’utilisation des technologies de l’information et de la communication -, c’est être profondément démuni. C’est se sentir constamment dépossédé d’une emprise sur le monde, qui nous renvoie sans cesse notre handicap au visage. Une emprise que peut certes redonner l’apprentissage de la lecture, mais qui, à elle seule, ne suffit pas à transformer les causes structurelles de l’analphabétisme», écrit Emiliano Arpin-Simonetti, secrétaire de rédaction, dans le plus récent numéro de Relations.

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