«Depuis la Révolution tranquille, les efforts pour déraciner les Québécois et les Québécoises de la religion sont voués à l’échec, car la religion est une réalité anthropologique que l’on ne peut exclure de la vérité profonde de la personne», écrit le jésuite André Gagnon dans le plus récent numéro d'Univers.
«Il est vrai que le christianisme a connu des contradictions dans son histoire, mais il est tout aussi vrai que le message de Jésus, qui est d’aimer et de servir les plus pauvres, demeure d’actualité. Il est certain que les pauvretés ne sont plus les mêmes qu’au siècle dernier. Que l’Église ait perdu sa puissance politique est une bonne chose, mais une partie d’elle-même reste fidèle à sa source évangélique et continue d’annoncer la Bonne Nouvelle.»
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