«Beaucoup sont à ce point éblouis par les exploits techniques incessants qu’ils refusent de voir les ravages écologiques, sociaux, politiques, moraux et spirituels qu’ils provoquent. Le mot d’ordre du début de la modernité, «Dominez la nature», s’est transformé, dans la postmodernité, en «Soyez soumis», écrit Jean-Claude Ravet, dans le plus récent numéro de Relations.
Le rédacteur en chef ajoute que «le geste révolutionnaire de notre époque est bien d’empoigner le frein d’urgence du train emballé de la production déchaînée, de la surconsommation sans borne et de la démesure technoscientifique».
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