«Est-il illusoire de vouloir bouger en liturgie? Comment prétendre
célébrer le Seigneur de tout notre être si notre corps demeure immobile
et passif? Nos célébrations sont très statiques. Ne pourrait-on pas
participer davantage?», demande Alain Roy dans le Prions en Église de novembre.
«Enfants, adolescents et jeunes adultes aiment habiter l’espace par des
déplacements et impliquent volontiers leur corps en célébration. Qu’en
est-il des participants et participantes d’âge mûr? Mon expérience
pastorale m’apprend qu’ils en sont tout aussi capables quand on sait
leur présenter adéquatement un mouvement ou un déplacement à faire.»
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