«Pour annoncer la miséricorde, il faut l’avoir soi-même ressentie. Il faut avoir fait l’expérience de Dieu au point de le laisser devenir en nous ce qu’il est. Au point de ne plus pouvoir regarder chaque personne que nous rencontrons sur le chemin de notre vie sans croire en elle malgré ses limites. Au point de cesser d’être insensibles aux tragédies humaines de notre époque», écrit Jacques Lison dans le numéro de janvier de Prions en Église.
«Justement, le 17 janvier sera la 102e Journée mondiale du migrant et du réfugié. Ils sont aujourd’hui des millions d’hommes, de femmes et d’enfants — nos semblables! — à être déracinés, chassés de leur terre par la guerre et toutes sortes d’horreurs. Rien ne pourra arrêter leur afflux incessant vers les pays riches où ils espèrent trouver un espace de paix et de sécurité. Dans le climat de cette crise sans précédent, laissons-nous donc surprendre par l’Évangile de la miséricorde.»
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