Les trois participants à cette table ronde des Journées François-de-Sales, Inès Safi, Michael Privot et Farid Abdelkrim, illustrent différentes façons de vivre l’islam.
Physicienne, Inès Safi dit que l’islam a été dénaturalisé. Elle s’intéresse au phénomène foi et science. Elle croit que l’islam se définit à travers des modèles vivants, par exemple des réalisations artistiques. Elle a illustré son propos à partir de modèles féminins.
Farid Abdelkrim a débuté son intervention en répétant à quatre reprises «Je suis Français, Français et musulman». À la suite de la perte d’un ami, en quête de sens et d’identité, il a rencontré les Frères musulmans. En 2015, il a cessé d’être islamiste et il est devenu humoriste.
Michael Privot, Belge et musulman, se définit comme un enfant de la post-modernité. Il a côtoyé le catholicisme, le bouddhisme, la religion juive pour finalement adhérer à l’islam. Il est resté plusieurs années avec les Frères musulmans. Pour lui, la diversité fait partie de l’univers. Il incite les médias à normaliser la diversité, à présenter une diversité de profils, à faire entendre des voix diverses de musulmans.
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Texte et photo de Gaëtane Larose, ex-présidente de l'ACPC, ancien nom
de l'AMéCO. Elle participe, à Annecy, aux 21e Journées
François-de-Sales, un événement organisé par la Fédération des médias catholiques.
Merci Gaëtane d'avoir fait écho des conférences données lors des Journées François de Sales. Tu es une ambassadrice hors pair. Bon retour et j'ai bien hâte que tu nous en parles de vive voix.
RépondreEffacerMerci Gaétane pour ces comptes rendus si intéressants. Bravo François de les avoir publiés sur le blogue de l'AMéCO.
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