«Comme humanité, l’accueil de l’étranger est une question de survie. Nous avons dans notre univers littéraire québécois le roman de Germaine Guèvremont qui identifie très bien notre malaise face à l’étranger: Le Survenant», confie le missionnaire Claude Lacaille dans le plus récent numéro de Parabole consacré à l'immigration.
«Le Survenant faisait peur et remettait en question l’ordre établi juste par sa présence. Les Québécois sont timides face à l’étranger. C’est rare qu’on fasse les premiers pas», a-t-il ajouté. Ses propos ont été recueillis par le journaliste Philippe Vaillancourt, rédacteur en chef de l'agence de presse Présence.
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