«Depuis quelques mois, en tant que responsables pastoraux en Église, nous constatons certaines réalités qui nous questionnent et en même temps nous interpellent. Bien que les familles engagées dans des parcours de formation à la vie chrétienne s’y impliquent sans réserve, d’autres activités destinées aux familles paraissent de moins en moins adaptées à leur réalité», écrit Carmen B. Lebel dans le numéro de décembre d'En communion.
Elle raconte notamment que «dans une paroisse, une équipe investit temps et énergie pour développer la pastorale familiale et favoriser le sentiment d’appartenance à la communauté. Elle prépare mensuellement une messe familiale et un dîner fraternel suivi de différentes activités proposées pour les personnes de tous âges (parents, adolescents et jeunes enfants)».
Toutefois, l'équipe constate que «les familles et les membres de la communauté manquent de temps: c’est l’épicerie qui n’est pas faite, la visite chez les grands-parents éloignés ou l’accueil des enfants à la maison, le transport pour les activités des enfants plus vieux, la bouffe pour la semaine à préparer, etc. L’équipe en est à remettre en question le projet tel qu’il est, car il ne semble pas répondre aux besoins des familles actuellement».
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