«À une époque où on tente d’évacuer les questions relatives à la mort et dans un contexte où de nombreuses entreprises funéraires proposent des lieux temporaires de sépulture comme solution définitive aux familles, des ajustements majeurs à nos pratiques traditionnelles s’imposent», écrit François Chapdelaine, président de l’Association des cimetières chrétiens du Québec.
«Plusieurs membres de notre association ont fait des pas de géant, en ce sens: soin particulier apporté au service à la clientèle, intervenants mieux formés, outils techniques et informatiques modernisés, offre de produits et services élargie, mise en valeur du patrimoine, investissements dans la promotion, partenariats stratégiques gagnant-gagnant, innovations diverses, etc. Il n’y a pas de collège ou d’université qui enseigne l’art d’administrer et de diriger un cimetière; mais ces échanges d’idées et d’expertise avec nos pairs constituent une véritable école», ajoue-t-il dans le bulletin Trait d'union.
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