
mardi 30 septembre 2008
Congrès à la carte

En Communion: premier numéro
lundi 29 septembre 2008
En Église: crise alimentaire
Laprise sur le Web
dimanche 28 septembre 2008
Univers: Journée missionnaire mondiale
L'Oratoire: les 40 ans de l'ACPC
samedi 27 septembre 2008
Nouveaux visages des Églises allemandes
Notre-Dame du Cap: religion à l'école
vendredi 26 septembre 2008
Ensemble: ignorance et préjugés
jeudi 25 septembre 2008
Histoire régionale
Revue Sainte Anne: père Thomas Tou
mercredi 24 septembre 2008
Sondage auprès des abonnés
Publication oecuménique
mardi 23 septembre 2008
Synode et nouveaux médias
Solidarités: retour du bulletin

lundi 22 septembre 2008
Paroles de la présidence: Denis Prescott
À différents moments de son histoire, ils ou elles ont dirigé l'ACPC. Nous avons recueilli les réactions et sentiments d'ex-présidents et présidentes à la veille des 40 ans de l'association. Aujourd'hui, les propos de Denis Prescott, président de 2005 à 2007.
Toute fête trouve sa raison d’être dans la vie qu’elle crée, qu’elle nourrit, qu’elle projette dans l’univers de la réalité à venir. Les 40 ans de l’ACPC représentent un courageux effort missionnaire pour annoncer l’évangile à l’œuvre dans l’actualité de notre monde. En 1968, une année charnière pour la communauté catholique québécoise, la fondation de l’ACPC a été un grain de sable dans le sablier de la révolution culturelle mondiale. C’est à la fois un moment de rupture avec «ce que l’on avait l’habitude de faire» et un moment de lien avec «ce qui peut advenir».
Je n’étais pas, à l’époque, dans le domaine de la presse religieuse grand public, mais je me servais amplement des médias dans mon animation pastorale et sociale. Adolescent, j’avais déjà lancé, avec deux amis, un petit journal d’été, imprimé sur Gestetner, que nous vendions 5 sous l’exemplaire à la porte d’une usine de Drummondville. Il n’est donc pas étonnant que de 1976 à 1981, je me sois retrouvé impliqué dans l’espace public par mes éditoriaux dans un hebdomadaire régional. Une expérience convaincante, s’il en est une, de l’importance de la presse dans la vie d’une société.
Lorsqu’en 2001 j’ai pris la direction de la revue Orient, publication missionnaire de la Congrégation de Sainte-Croix, la revue était déjà membre de l’ACPC. Je me suis intéressé à l’essor de l’association, j’ai joint son conseil d’administration en 2002 et j’en ai assumé la présidence de 2005 à 2007. J’ai pris part également au comité de rédaction et d’administration de Présence Magazine, autre membre de l’ACPC.
Mes sept années passées dans la presse religieuse n’affaiblissent en rien mes convictions sur l’importance d’un média écrit pour diffuser les valeurs évangéliques. C’est la très grande fragilité financière de la presse religieuse qui préoccupe. Les valeurs de solidarité, de partage, de justice sociale et d’équité, de dialogue spirituel et de respect du sacré posent beaucoup de questions à la globalisation de l’économie. Ou la presse religieuse fuit dans un autre monde, «au-delà des situations angoissantes», ou la presse religieuse mène le combat de la dignité humaine, fils et filles de Dieu, à son image. Cette option-ci, la plus prophétique dans la ligne de l’Évangile, est la plus risquée pour sa survie. Le portrait sociologique du lectorat catholique diffère très peu de celui de l’ensemble de notre population, laquelle est à la remorque d’un système de valeurs fondé sur les bénéfices économiques.
Je n’étais pas, à l’époque, dans le domaine de la presse religieuse grand public, mais je me servais amplement des médias dans mon animation pastorale et sociale. Adolescent, j’avais déjà lancé, avec deux amis, un petit journal d’été, imprimé sur Gestetner, que nous vendions 5 sous l’exemplaire à la porte d’une usine de Drummondville. Il n’est donc pas étonnant que de 1976 à 1981, je me sois retrouvé impliqué dans l’espace public par mes éditoriaux dans un hebdomadaire régional. Une expérience convaincante, s’il en est une, de l’importance de la presse dans la vie d’une société.
Lorsqu’en 2001 j’ai pris la direction de la revue Orient, publication missionnaire de la Congrégation de Sainte-Croix, la revue était déjà membre de l’ACPC. Je me suis intéressé à l’essor de l’association, j’ai joint son conseil d’administration en 2002 et j’en ai assumé la présidence de 2005 à 2007. J’ai pris part également au comité de rédaction et d’administration de Présence Magazine, autre membre de l’ACPC.
Mes sept années passées dans la presse religieuse n’affaiblissent en rien mes convictions sur l’importance d’un média écrit pour diffuser les valeurs évangéliques. C’est la très grande fragilité financière de la presse religieuse qui préoccupe. Les valeurs de solidarité, de partage, de justice sociale et d’équité, de dialogue spirituel et de respect du sacré posent beaucoup de questions à la globalisation de l’économie. Ou la presse religieuse fuit dans un autre monde, «au-delà des situations angoissantes», ou la presse religieuse mène le combat de la dignité humaine, fils et filles de Dieu, à son image. Cette option-ci, la plus prophétique dans la ligne de l’Évangile, est la plus risquée pour sa survie. Le portrait sociologique du lectorat catholique diffère très peu de celui de l’ensemble de notre population, laquelle est à la remorque d’un système de valeurs fondé sur les bénéfices économiques.
dimanche 21 septembre 2008
Foi et société
L'Église de Baie-Comeau: mot d'adieu
samedi 20 septembre 2008
Panorama des religions
L'Église de Rouyn-Noranda: deux églises

vendredi 19 septembre 2008
Des guides de formation
Le blogue de Missions des franciscains

jeudi 18 septembre 2008
Une bonne raison d'arriver tôt!

Orient: conversion et culture

mercredi 17 septembre 2008
Le NIC: un agenda bien chargé
mardi 16 septembre 2008
Prêtre et Pasteur: pastorale et humour
lundi 15 septembre 2008
Paroles de la présidence: Gaëtane Larose
À différents moments de son histoire, ils ou elles ont dirigé l'ACPC. Nous avons recueilli les réactions et sentiments d'ex-présidents et présidentes à la veille des 40 ans de l'association. Aujourd'hui, les propos de Gaëtane Larose, présidente de 2000 à 2005.
Ma participation au sein de l'ACPC correspond à mon entrée à l'archevêché de Sherbrooke à titre de responsable des communications en 1996. Dès le premier congrès de l'ACPC auquel je participais, j'acquis la conviction qu'il s'agissait là d'un lieu de formation, de rencontres enrichissantes, de partage d'expériences professionnelles. L'ACPC, parce que membre de l'UCIP, me fit également découvrir la presse catholique internationale.
Au fil des ans, je m'engageai au sein du conseil d'administration, conseil que j'ai d'ailleurs présidé de 2000 à 2005. J'ai laissé la présidence de l'ACPC ( tout en continuant à siéger au CA) pour présider le comité d'organisation du Congrès UCIP 2007. Toute une aventure!
Malgré l'ampleur du projet et les embûches, je garde de cette aventure le souvenir d'une équipe d'organisation formidable, de collaborateurs bénévoles dévoués et sympathiques, de généreux donateurs, de rencontres enrichissantes, de conférenciers de calibre.
Ma participation au conseil d'administration se poursuit. Elle me permet de vivre de belles amitiés, des temps forts de ressourcement et de formation. Je continue de croire en l'avenir de la presse écrite et de l'ACPC. Je me réjouis de célébrer cette année 40 ans de vie et d'expériences dynamisantes.
Photo: Gaëtane Larose (à gauche) en compagnie de Vincent Fauvel de France et Else Strivens d'Afrique du Sud.
Au fil des ans, je m'engageai au sein du conseil d'administration, conseil que j'ai d'ailleurs présidé de 2000 à 2005. J'ai laissé la présidence de l'ACPC ( tout en continuant à siéger au CA) pour présider le comité d'organisation du Congrès UCIP 2007. Toute une aventure!
Malgré l'ampleur du projet et les embûches, je garde de cette aventure le souvenir d'une équipe d'organisation formidable, de collaborateurs bénévoles dévoués et sympathiques, de généreux donateurs, de rencontres enrichissantes, de conférenciers de calibre.
Ma participation au conseil d'administration se poursuit. Elle me permet de vivre de belles amitiés, des temps forts de ressourcement et de formation. Je continue de croire en l'avenir de la presse écrite et de l'ACPC. Je me réjouis de célébrer cette année 40 ans de vie et d'expériences dynamisantes.
Photo: Gaëtane Larose (à gauche) en compagnie de Vincent Fauvel de France et Else Strivens d'Afrique du Sud.
dimanche 14 septembre 2008
Aujourd'hui Credo: présence protestante
samedi 13 septembre 2008
Élections américaines et religion
vendredi 12 septembre 2008
Baladodiffusion et patrimoine religieux

jeudi 11 septembre 2008
Vie liturgique: espérance
Un nouveau monde
mercredi 10 septembre 2008
RND dans L'Actualité
Relations: la ruralité
mardi 9 septembre 2008
Le Brigand: les conditions de l'empereur
lundi 8 septembre 2008
Paroles de la présidence: Jérôme Martineau
À différents moments de son histoire, ils ou elles ont dirigé l'ACPC. Nous avons recueilli les réactions et sentiments d'ex-présidents et présidentes à la veille des 40 ans de l'association. Aujourd'hui, les propos de Jérôme Martineau, président de 1988 à 1992.
«On considère dans notre société qu’une personne de quarante ans est encore jeune. Il n’y a qu’un pas à franchir pour dire que l’ACPC est encore jeune… Pourtant, que de chemin parcouru en 40 ans. Les fondateurs ont créé cette association au moment où la société québécoise était en pleine Révolution tranquille. Vous vous souvenez de mai 68. Les initiateurs de cette association de périodiques ont sans doute senti à cette époque que le vent tournait, que les choses dans le domaine de l’édition ne seraient plus pareilles. Le temps était désormais à la professionnalisation des médias catholiques. Il fallait davantage de concertation et de formation. J’ai eu mes premiers contacts avec l’ACPC au milieu des années 1970. Il était question de qualité de la langue, du traitement de la nouvelle, de rédaction journalistique, d’illustration et de l’adaptation de nos magazines aux nouvelles clientèles. Pas question de révéler nos tirages. Sujet tabou.
Un nouveau contact a été repris en 1985 lors de mon arrivée à la revue Notre-Dame du Cap. Une nouvelle génération de membres avait fait son apparition. Les préoccupations avaient changé : on parlait marketing, mise ne marché, rajeunissement de la maquette des revues et recherche de nouveaux lecteurs. On cherche toujours de nouveaux lecteurs sans les trouver! Les années1990 m’ont amené à m’éloigner de l’ACPC. Il me semblait de loin que l’on tournait un peu en rond. Les tirages étaient toujours à la baisse. Les ressources monétaires se faisaient plus rares. J’ai surtout fait la prise de conscience que la presse religieuse était plus que jamais dépendante de personnes qui n’ont rien à voir avec l’édition. L’activité liée à l’édition de magazine dépend habituellement d’une communauté religieuse qui avait créé un organe de communication pour soutenir une œuvre et pour informer. Alors, l’avenir de la publication dépend de la santé financière de l’œuvre! J’en sais quelque chose! Alors à quoi bon palabrer quand le sort de la publication et son rayonnement dépend d’une autre instance qui doit affronter plusieurs problèmes dont entre autre celui du vieillissement de ses membres. La plupart, en effet, de nos magazines et organes d’information ne dépendent pas d’un propriétaire dont la mission première est d’informer.
L’avenir? Quel avenir? J’ai d’abord une réponse pessimiste : «En espérant que ça dure encore 10 ans, car il ne restera presque plus d’abonnés si je me fie au rythme où le tirage a baissé au cours des 20 dernières années» Une réponse réaliste : «Nous serons là modestement dans la mesure où nous saurons ajuster notre offre de service aux réels besoins non seulement des croyants d’ici mais aussi des hommes et des femmes qui s’intéressent à la vie spirituelle chrétienne.»
Ah oui! Je me souviens. Les fondateurs de l’ACPC rêvaient d’un grand magazine populaire catholique québécois. Parlez-en à Bernard Mercier de la Revue Sainte Anne.»

Un nouveau contact a été repris en 1985 lors de mon arrivée à la revue Notre-Dame du Cap. Une nouvelle génération de membres avait fait son apparition. Les préoccupations avaient changé : on parlait marketing, mise ne marché, rajeunissement de la maquette des revues et recherche de nouveaux lecteurs. On cherche toujours de nouveaux lecteurs sans les trouver! Les années1990 m’ont amené à m’éloigner de l’ACPC. Il me semblait de loin que l’on tournait un peu en rond. Les tirages étaient toujours à la baisse. Les ressources monétaires se faisaient plus rares. J’ai surtout fait la prise de conscience que la presse religieuse était plus que jamais dépendante de personnes qui n’ont rien à voir avec l’édition. L’activité liée à l’édition de magazine dépend habituellement d’une communauté religieuse qui avait créé un organe de communication pour soutenir une œuvre et pour informer. Alors, l’avenir de la publication dépend de la santé financière de l’œuvre! J’en sais quelque chose! Alors à quoi bon palabrer quand le sort de la publication et son rayonnement dépend d’une autre instance qui doit affronter plusieurs problèmes dont entre autre celui du vieillissement de ses membres. La plupart, en effet, de nos magazines et organes d’information ne dépendent pas d’un propriétaire dont la mission première est d’informer.
L’avenir? Quel avenir? J’ai d’abord une réponse pessimiste : «En espérant que ça dure encore 10 ans, car il ne restera presque plus d’abonnés si je me fie au rythme où le tirage a baissé au cours des 20 dernières années» Une réponse réaliste : «Nous serons là modestement dans la mesure où nous saurons ajuster notre offre de service aux réels besoins non seulement des croyants d’ici mais aussi des hommes et des femmes qui s’intéressent à la vie spirituelle chrétienne.»
Ah oui! Je me souviens. Les fondateurs de l’ACPC rêvaient d’un grand magazine populaire catholique québécois. Parlez-en à Bernard Mercier de la Revue Sainte Anne.»
dimanche 7 septembre 2008
Congrès 2008: les conférenciers

RVM: nouvelle programmation
samedi 6 septembre 2008
Jean Grou sur YouTube
Le Fouineux: moteurs à profusion
vendredi 5 septembre 2008
L'Église de Baie-Comeau: ordination
jeudi 4 septembre 2008
Actualité diocésaine: rallye

mercredi 3 septembre 2008
RND: le fait français
du Multidictionnaire de la langue française.
mardi 2 septembre 2008
FFM: Prix oecuménique 2008
Présence magazine: art et tabous
lundi 1 septembre 2008
Paroles de la présidence: Anne-Marie Gagné
À différents moments de son histoire, ils ou elles ont dirigé l'ACPC. Nous avons recueilli les réactions et sentiments d'ex-présidents et présidentes à la veille des 40 ans de l'association. Aujourd'hui, les propos d'Anne-Marie Gagné, présidente de 1993 à 1997.
«Il me semble que c’est hier que nous soulignions le 30e anniversaire de l’ACPC !... Que le temps passe vite !
Je me rappelle particulièrement les années au cours desquelles j’ai assumé d’abord le secrétariat, puis la présidence de l’association. J’avais une équipe extraordinaire qui ne ménageait ni son temps ni son énergie pour le bien de l’association. La création du Prix Marie-Guyart date de cette époque. Vous permettez que je fasse un clin d’œil à mon «vice», Claude Auger.
Je ne suis pas prophète, mais je crois que les prochaines années seront à la fois difficiles et importantes pour l’ACPC. D’une part, les fidèles lecteurs et lectrices de nos revues vieillissent; d’autre part, les jeunes préfèrent l’ordinateur à la revue. L’avenir est peut-être là : donner une large place à l’internet pour communiquer notre message.
En ce qui me concerne, j’ai quitté La Pocatière en 1995, après 24 ans au Service des communications sociales du diocèse de Sainte-Anne. Je travaille trois jours/semaine aux communications pour ma congrégation, ce qui comprend notamment la responsabilité du bulletin communautaire d’information Carrefour S.C.Q. Les deux autres jours, je suis au service du diocèse de Québec comme secrétaire à tout faire de quatre conseils ou comités. Autrement dit : je ne m’ennuie pas… mais j’ai toujours hâte au congrès de l’ACPC pour revoir tous mes amis.»
Je me rappelle particulièrement les années au cours desquelles j’ai assumé d’abord le secrétariat, puis la présidence de l’association. J’avais une équipe extraordinaire qui ne ménageait ni son temps ni son énergie pour le bien de l’association. La création du Prix Marie-Guyart
Je ne suis pas prophète, mais je crois que les prochaines années seront à la fois difficiles et importantes pour l’ACPC. D’une part, les fidèles lecteurs et lectrices de nos revues vieillissent; d’autre part, les jeunes préfèrent l’ordinateur à la revue. L’avenir est peut-être là : donner une large place à l’internet pour communiquer notre message.
En ce qui me concerne, j’ai quitté La Pocatière en 1995, après 24 ans au Service des communications sociales du diocèse de Sainte-Anne. Je travaille trois jours/semaine aux communications pour ma congrégation, ce qui comprend notamment la responsabilité du bulletin communautaire d’information Carrefour S.C.Q. Les deux autres jours, je suis au service du diocèse de Québec comme secrétaire à tout faire de quatre conseils ou comités. Autrement dit : je ne m’ennuie pas… mais j’ai toujours hâte au congrès de l’ACPC pour revoir tous mes amis.»
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