«La célébration dominicale du 24 mai rassemblait près de 2 500 personnes. Il y avait longtemps qu’on n’y avait vu autant de monde; habituellement, entre 200 et 400 personnes s’y rassemblaient le dimanche matin à 10h30, une vingtaine lors des messes l’après-midi en semaine.»
Il ajoute que «le pasteur de la communauté a voulu aussi « qu’on prenne le temps de bien vivre » le rituel de fermeture à la fin: on a retiré de son lieu la Réserve eucharistique et les pierres des autels (principal et latéraux), on a aussi extrait la plaque dédiée aux victimes de l’accident du mont Obiou en 1950, avant de procéder à la fermeture des portes au son d’une envolée d’orgue magistrale. L’événement se clôturait sur le parvis de l’église. Bien que la cérémonie ait dépassé les deux heures, l’assemblée, constituée de gens de tous les âges (oui, vraiment!), est demeurée jusqu’à la fin, avec une émotion perceptible même si largement contenue dans un silence impressionnant.»
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