«Cela me fait sourire, quand je pense à la prédiction d’une personnalité catholique du Québec de 1970. Il m’avait dit: «A quoi pensez-vous? Un journal marial… Voyons donc: la Sainte Vierge, on l’a remise à sa place, au Concile Vatican II. Vous ne tiendrez pas deux mois!» J’ai répondu: «Donnez-moi au moins un an pour faire l’expérience !»
Directeur du journal, Martin M. Mc Nicoll écrit dans le numéro de juillet: «notre reconnaissance s’adresse à toutes les personnes qui, depuis quarante-six ans, ont collaboré à la réalisation de votre publication mariale. Permettez-moi ici de saluer la nouvelle et dynamique équipe du Journal, sous la direction de l’infatigable Jeanine Deshaies Roy, et en particulier, après toutes ces années, à notre merveilleuse, remarquable et constante grande dame, Marie-Thérèse Chevalier.»
La publication a entrepris les démarches, en juillet, en vue de redevenir membre de l'AMéCO. En 1999, Marie-Thérèse Chevalier a reçu le prix Marie-Guyart remis à «une personne membre de l’Association des médias catholiques et œcuméniques qui a eu une influence importante dans l’univers des périodiques catholiques de chez nous».
Félicitations aux artisans et artisanes de Jésus, Marie et Notre Temps. Et au plaisir de vous compter de nouveau au sein de l'AMéCO.
RépondreEffacerJean Grou