«La trentenaire que je suis n’avait jamais vraiment eu de lien avec les religieuses. Au Québec, l’époque où l’une de nos sœurs, cousines, tantes ou amies choisissait de « rentrer au couvent » est assez lointaine. Je n’avais donc jamais eu la chance de m’asseoir avec l’une de ces femmes et de discuter avec elle», raconte Eliane Thibault, directrice de la revue Ensemble (archidiocèse de Sherbrooke).
«Alors que je les croyais pratiquement dans un monde à part, je me suis plutôt rendu compte que nous n’étions pas si différentes. Se demander si nous sommes au bon endroit dans notre vie, si nous sommes vraiment heureuses, si nous pourrions faire plus pour notre société est aussi le propre des femmes qui ont choisi la vie religieuse.»
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