Récemment, «un journaliste a employé l’expression « s’acheter une conscience » au sens de s’organiser pour que ça passe bien ou que ça ne paraisse pas trop, dans le contexte des affaires cachées dont il parlait», raconte le rédacteur Gilles Jalbert dans le plus récent numéro de la Revue missionnaire Mariannhill.
«Cela traduit bien souvent notre relation à nous-mêmes et aux autres. Non pas qu’il faille toujours tout dire et n’importe comment. Il y a la retenue, la bienséance, la civilité, les expressions de politesse, etc. Mais il y a aussi la vérité d’être et de présence», écrit-il.
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