Directrice générale du magazine Le NIC, Sophie Bouchard discute de tirage - «des chiffres qui ne sont malheureusement pas trop reluisants» - en éditorial du plus récent numéro. «En janvier 2000, nous avions 7413 abonnés. À cette époque, la librairie et nos bureaux venaient de fermer leurs portes; depuis ce jour, chacun travaillait de chez lui. C’est également environ à cette période que Le NIC a vécu des transformations importantes tant au niveau du contenu que dans sa forme, passant du format tabloïd au format magazine.
Cinq ans plus tard, il ne reste plus que 4558 abonnés. Une baisse radicale de 2855 abonnés. Est-ce attribuable aux changements faits en 2000 ou est-ce que nos abonnées nous quittent malgré eux (âge, budget, difficulté à lire, décès, etc.)? Impossible de savoir avec certitude... On ne peut que supposer en tenant compte des petits messages reçus chaque mois: beaucoup doivent cesser leur abonnement bien malgré eux...
En 2008, nous avions fondé beaucoup d’espoir dans le Congrès eucharistique. Nous avions même imprimé plus de 10 000 copies supplémentaires que nous avions distribuées gratuitement pendant le congrès. Résultats? Un gain d’à peine 125 abonnés au total. Le mois passé, ce sont seulement 3224 abonnés qui ont reçu notre magazine... une baisse de 1334 depuis 5 ans. Depuis 10 ans, c’est plus de la moitié de notre lectorat (4189 abonnements) que nous avons perdue. Nous estimons que cette perte est encore une fois principalement due au vieillissement de nos lecteurs.»
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