«C'était un vendredi. La semaine ne se terminait pas avec le sentiment du devoir accompli. Cela arrive parfois. Je me préparais donc à quitter le bureau mais avant, j'ai cru bon lire certaines lettres reçues dont je n'avais pas encore pris connaissance du contenu. Dans l'une de ces lettres, une dame me confiait les lourds problèmes de santé que son conjoint avait dû surmonter depuis quelques années: d'abord l'amputation de ses jambes puis la perte complète d'un œil et le second qui n'offrait qu'une vue partielle. Mais la lettre ne s'arrêtait pas à cette situation désolante. La dame mentionnait que pour redonner de l'espérance à son conjoint, elle lui lisait la revue L'Oratoire», écrit Nathalie Dumas, rédactrice en chef, dans le numéro de septembre-octobre.
«J'ai eu le souffle coupé en lisant cela. Notre modeste publication de 32 pages, publiée six fois par année, accomplissait de belles et grandes choses que je n'avais pu imaginer», ajoute-t-elle. «Ce genre de témoignage appartient à la démesure de Dieu et je le garde comme un précieux rappel de notre humble mission.»
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