Il reconnaît que «les échanges de biens, de services et de capitaux entre pays ont pris une ampleur inédite avec le phénomène de la mondialisation. D’immenses navires parcourent désormais les mers du monde, chargés de lourds conteneurs. Le commerce par Internet fleurit».
Si «le commerce est une activité humaine», le chroniqueur estime que «des critères éthiques doivent imprégner les relations qui s'y déroulent. Le droit au libre commerce ne peut pas échapper au principe naturel et fondamental de la destination universelle des biens de la terre».
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