«La personne qui décide que sa vie prend fin, le fait après avoir traversé une longue période de souffrances atroces et insupportables», écrit Fernand Patry, prêtre et intervenant en soins spirituels retraité du CHUM, dans le numéro de novembre de Prêtre et Pasteur. «La société a choisi par son législateur de donner la possibilité à une personne de se sortir de ce calvaire. C'est avec le plus grand respect que nous devons prendre acte de la décision de s'en prévaloir», ajoute-t-il dans un texte intitulé L'ultime passage, mourir debout et vivant face à une mort annoncée.
Selon l'auteur, «chez toute personne qui prend et assume sa décision de mourir dans la dignité et pour ce faire demande l'application de la loi sur les soins de fin de vie, cette décision fondamentale ne peut être que d'ordre spirituel».
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