«La société carbure à la vitesse, à la fluidité, à l’immédiateté», déplore Jacques Lison, dans l'édition de décembre de Prions en Église. «Elle tourne et court dans tous les sens, sans direction précise, au risque de perdre la maîtrise de son avenir. C’est qu’elle vit trop dans les villes et dans le monde virtuel. Elle a perdu la patience du jardinier. Elle a besoin de réapprendre que les bonnes choses sont lentes à naître.»
Pour l'éditorialiste, il y a urgence, «celle de réapprendre à laisser le temps au temps».
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