«A priori, une très mauvaise nouvelle dont les conséquences sont difficiles à évaluer pour l’instant, car le candidat républicain élu a changé de discours depuis le 8 novembre et il est beaucoup moins affirmatif qu’en campagne. Le personnage est imprévisible et ses premières nominations n’ont rien de rassurant.»
Elle ajoute que «la campagne a sonné le glas du politically correct. Cette forme de censure méprisante doit disparaître pour laisser place à un débat où l’on sait écouter, convaincre et présenter des politiques concrètes plutôt que des sermons.»
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