Il y a dans la journée des moments où une tâche n’attend pas l’autre, où l’on est submergé par les occupations et les préoccupations et cela, quel que soit notre âge. On dirait que tout va vite, tout le monde est pressé; on court après le temps! Heureusement, il y a d’autres moments où l’on peut relaxer, prendre vent, s’arrêter…», écrit Guy LeBer dans le plus récent numéro de la publication Les Amis de Béthanie.
«À la campagne, le soir après souper, avant la brunante, l’été, alors que le soleil baisse, que la nature se repose, que les oiseaux se préparent pour la nuit, que nul vent ne vient agiter les feuilles des arbres… Tout est calme: on dirait qu’un silence de paix se répand autour de nous. On vit, à ces instants-là, de grands moments de sérénité. Quelle heure est-il? Moi, je dis que c’est l’heure douce.»
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