«Qui ne se souvient du film Des hommes et des dieux (2010), de Xavier Beauvois? C’est lui qui signe cette fois, pour son 25e film, une grande fresque historique qui traverse la Première Guerre mondiale et se rend même jusqu’en 1920», écrit René Tessier dans le plus récent numéro de Pastorale-Québec.
Il critique le film Les gardiennes.
«Les hommes partis à la guerre, les femmes, assistées moins que plus par quelques vieillards, doivent assurer les travaux des champs et l’entretien de la maisonnée, tout en se rongeant d’inquiétude pour ceux qui sont au combat. Leur héroïsme, peu souvent évoqué au cinéma, est ici salué. En quelque sorte, Les gardiennes nous offrent le contreplan d’une oeuvre comme Dunkerque, où on ne voyait que des mâles sur le front.»
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