mardi 15 mai 2012

Le Messager de Saint-Antoine: Piaf

Jacques Gauthier revient sur l'épisode de la censure du chant d'Édith Piaf dans le numéro de mai du Messager de Saint-Antoine. «Croyant ou non, si l'on présente une œuvre d'art, une chanson, que ce soit dans son intégralité, sinon on tombe dans l'arbitraire idéologique. L'art a quelque chose à dire sur notre approche de l'invisible, sur notre quête de l'inaccessible étoile (Jacques Brel). Appelons cette quête du nom de Dieu ou de l'amour, qu'importe, nous sommes devant le mystère, ce qui demeure quand tout meurt.»

1 commentaire:

  1. Personne n'a vraiment soulevé publiquement cette question mais ce qui, à mon avis, est aussi grave que la censure, c'est de faire chanter à des enfants du primaire: «Tant que mon corps frémira sous tes mains»

    François M-D

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